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Collection Sophie Calle, Drouot estimations / Sophie Calle / Paris [France] : Drouot Fondation (2023)
Titre : Collection Sophie Calle, Drouot estimations : Expositions publiques, Musée national Picasso, Paris, du 3 octobre 2023 au 7 janvier 2024 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Calle (1953-....), Artiste Editeur : Paris [France] : Drouot Fondation Année de publication : 2023 Autre Editeur : Paris [France] : Musée Picasso Importance : 224 p Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 27 x 20,5 cm Langues : Français (fre) Catégories : Art conceptuel -- Catalogues d'exposition , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : photographie inventaire art conceptuel disparition absence meubles cénotaphe vente estimation mise en scène exposition France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : "Je ne suis plus négligente : je garde les clés qui n'ouvriront plus rien, les lunettes qui ne voient plus... Mais quand je ne serai plus là , que vont devenir les choses de ma vie ? Ma mère est morte, mon père est mort, et je n'ai pas d'enfants. Sans héritiers définis, une vente judiciaire peut m'arriver ; vendue à l'encan. " [Sophie Calle, texte d'introduction] - Pour la première fois, l’Hôtel Drouot s’investit dans une exposition hors les murs avec une institution muséale nationale, le musée national Picasso-Paris, et une artiste de renommée internationale, Sophie Calle.
Carte blanche lui est donnée pour déployer son univers dans la totalité du musée. Artiste conceptuelle et littéraire, fascinée par les thèmes de l'absence et de la disparition, Sophie Calle saisit l'occasion de cette invitation pour orchestrer et mettre en scène la succession de ses biens. Le célèbre hôtel des ventes Drouot a procédé à l'établissement de 482 lots parmi les biens personnels de l'artiste : de son mobilier à sa vaisselle, de ses animaux empaillés à sa collection d'oeuvres d'art. Chaque objet a été répertorié par la maison de ventes et libellé d'une notice descriptive, comme il est d'usage lors d'une vente aux enchères. Tous les lots seront exposés dans les espaces du musée Picasso et publiés au sein d'un catalogue de vente édité par Drout.Note de contenu : Inventaire descriptif, établi le 2 juin 2022, des biens appartenant à Sophie Calle ; ouvrage publié à l'occasion de l'exposition "A toi de faire, ma mignonne", organisée par le Musée national Picasso-Paris du 3 octobre 2023 au 7 janvier 2024 Collection Sophie Calle, Drouot estimations : Expositions publiques, Musée national Picasso, Paris, du 3 octobre 2023 au 7 janvier 2024 [texte imprimé] / Sophie Calle (1953-....), Artiste . - Paris (France) : Drouot Fondation : Paris (France) : Musée Picasso, 2023 . - 224 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 27 x 20,5 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Art conceptuel -- Catalogues d'exposition , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : photographie inventaire art conceptuel disparition absence meubles cénotaphe vente estimation mise en scène exposition France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : "Je ne suis plus négligente : je garde les clés qui n'ouvriront plus rien, les lunettes qui ne voient plus... Mais quand je ne serai plus là , que vont devenir les choses de ma vie ? Ma mère est morte, mon père est mort, et je n'ai pas d'enfants. Sans héritiers définis, une vente judiciaire peut m'arriver ; vendue à l'encan. " [Sophie Calle, texte d'introduction] - Pour la première fois, l’Hôtel Drouot s’investit dans une exposition hors les murs avec une institution muséale nationale, le musée national Picasso-Paris, et une artiste de renommée internationale, Sophie Calle.
Carte blanche lui est donnée pour déployer son univers dans la totalité du musée. Artiste conceptuelle et littéraire, fascinée par les thèmes de l'absence et de la disparition, Sophie Calle saisit l'occasion de cette invitation pour orchestrer et mettre en scène la succession de ses biens. Le célèbre hôtel des ventes Drouot a procédé à l'établissement de 482 lots parmi les biens personnels de l'artiste : de son mobilier à sa vaisselle, de ses animaux empaillés à sa collection d'oeuvres d'art. Chaque objet a été répertorié par la maison de ventes et libellé d'une notice descriptive, comme il est d'usage lors d'une vente aux enchères. Tous les lots seront exposés dans les espaces du musée Picasso et publiés au sein d'un catalogue de vente édité par Drout.Note de contenu : Inventaire descriptif, établi le 2 juin 2022, des biens appartenant à Sophie Calle ; ouvrage publié à l'occasion de l'exposition "A toi de faire, ma mignonne", organisée par le Musée national Picasso-Paris du 3 octobre 2023 au 7 janvier 2024 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131375 MONO CALL Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Exo Endo / Laurent Lafolie / Lamaindonne (2022)
Titre : Exo Endo : Catalogue d'exposition Exo Endo, Galerie Le Château d'Eau, du 8 février au 8 mai 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Lafolie, Photographe ; Michelle Debat, Préfacier, etc. ; Isabelle Darrigrand, Postfacier, auteur du colophon, etc. Editeur : Lamaindonne Année de publication : 2022 Autre Editeur : Toulouse [France] : Galerie municipale du Château d'Eau Importance : 80 p Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 23,5 x 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-492-92001-1 Prix : 20 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Photographe Photographie absence plaque céramique papier japonais visage légèreté France 21e siècle Résumé : Utilisant une immense variété de techniques qu'il s'approprie, améliore, voire invente, Laurent Lafolie produit d'abord des objets qui sont les véhicules d'images qu'il veut partager avec nous. Il nous rappelle sans cesse, dans des variations savantes qui vont de la légèreté sophistiquée de papiers japonais transparents s'agitant au moindre souffle d'air à la dureté de plaques en céramique ou à la fragilité transparente de feuilles de porcelaine en passant par la mystérieuse inscription de la forme sur des fils tendus, la matérialité obligatoire de l'image. Pour la première fois, lui dont on connait la finesse de traitement des gris et du noir et blanc nous convie à des propositions en couleur, toujours aussi variées et subtiles. Dans tout ce travail, dans cet artisanat qui connaît tous les secrets de fabrication pour nous émerveiller d'images questionnant la temporalité et la nature de la représentation, tout se joue entre révélation et disparition. Parce qu'image rime ici avec magie et que nous sommes donc confrontés à une parole silencieuse et à des écritures. Qui convoquent des visages devenus complices et des questionnements permanents. « Ce qui frappe, c'est la présence de l'absence. J'ai l'impression que je travaille beaucoup avec cette notion. Mes oeuvres sont présentes, mais ce qui est représenté, c'est plus l'absence. » Christian Caujolle Conseiller artistique de la Galerie Le Château d'Eau Exo Endo : Catalogue d'exposition Exo Endo, Galerie Le Château d'Eau, du 8 février au 8 mai 2022 [texte imprimé] / Laurent Lafolie, Photographe ; Michelle Debat, Préfacier, etc. ; Isabelle Darrigrand, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - France : Lamaindonne : Toulouse (France) : Galerie municipale du Château d'Eau, 2022 . - 80 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 23,5 x 19 cm.
ISBN : 978-2-492-92001-1 : 20 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Photographe Photographie absence plaque céramique papier japonais visage légèreté France 21e siècle Résumé : Utilisant une immense variété de techniques qu'il s'approprie, améliore, voire invente, Laurent Lafolie produit d'abord des objets qui sont les véhicules d'images qu'il veut partager avec nous. Il nous rappelle sans cesse, dans des variations savantes qui vont de la légèreté sophistiquée de papiers japonais transparents s'agitant au moindre souffle d'air à la dureté de plaques en céramique ou à la fragilité transparente de feuilles de porcelaine en passant par la mystérieuse inscription de la forme sur des fils tendus, la matérialité obligatoire de l'image. Pour la première fois, lui dont on connait la finesse de traitement des gris et du noir et blanc nous convie à des propositions en couleur, toujours aussi variées et subtiles. Dans tout ce travail, dans cet artisanat qui connaît tous les secrets de fabrication pour nous émerveiller d'images questionnant la temporalité et la nature de la représentation, tout se joue entre révélation et disparition. Parce qu'image rime ici avec magie et que nous sommes donc confrontés à une parole silencieuse et à des écritures. Qui convoquent des visages devenus complices et des questionnements permanents. « Ce qui frappe, c'est la présence de l'absence. J'ai l'impression que je travaille beaucoup avec cette notion. Mes oeuvres sont présentes, mais ce qui est représenté, c'est plus l'absence. » Christian Caujolle Conseiller artistique de la Galerie Le Château d'Eau Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131266 MONO LAFO Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Mouvements secrets des images fixes / Alain Fleischer / Vitry-sur-Seine [France] : Galerie municipale Jean-Collet (2017)
Titre : Mouvements secrets des images fixes : Catalogue d'exposition Galerie municipale Jean-Collet, Vitry-sur-Seine,19 Mar - 07 Mai 2017 Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Fleischer (1944-....), Artiste ; Évelyne Artaud (1950-....), Commissaire d'exposition Editeur : Vitry-sur-Seine [France] : Galerie municipale Jean-Collet Année de publication : 2017 Importance : 96 p Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 25 x 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-94152-11-9 Note générale : biographie de l'artiste, p 95 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Art vidéo , Littérature et cinéma , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie vidéo film littérature regard visible invisible présence absence vie mort France 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : L’exposition « Mouvements secrets des images fixes » à la galerie municipale Jean-Collet de Vitry-sur-Seine présente des photographies et installations visuelles d’Alain Fleischer qui témoignent d’un questionnement sur le médium photographique et sur la teneur matérielle de l’expérience artistique. Les réalisations du réalisateur, vidéaste, photographe et écrivain Alain Fleischer ont pour ambition d’inciter le spectateur à exercer son propre regard. L’exposition présente trois de ses œuvres qui invitent à expérimenter directement la frontière qui sépare le visible de l’invisible, la présence de l’absence, le réel du fictif, la vie de la mort.
La série photographique La Nuit des visages fait de la nuit un espace où les images de personnes disparues peuvent apparaître telles des revenants, par le biais de la photographie qui les expose à la vue des vivants par des projection lumineuse sur différentes surfaces plongées dans le noir. Pour cela, Alain Fleischer a opéré une réappropriation de la photographie par elle-même en photographiant des clichés exposés en médaillons sur les tombes de cimetières italiens. Projetées en grand format sur divers éléments du paysage nocturne, des visages de femmes photographiés lorsqu’elles étaient encore en vie sont rappelés par la photographie et figés dans le temps, au-delà de leur mort. Ainsi s’affirme le pouvoir de la photographie de recycler ses propres images, de les réintroduire dans le cycle éternel de vie et de mort.
Dans l’installation interactive À la recherche de Stella, trois cents visages de femmes sont projetés dans un espace plongé dans le noir. Ces projections ne forment que d’aveuglant rayons lumineux, que le spectateur est incité à renvoyer grâce à un miroir sur le mur, le sol, le plafond… Ainsi, c’est le spectateur qui fait apparaître les images qui demeuraient invisibles jusqu’à son action. A nouveau, l’œuvre souligne la capacité de l’outil photographique de faire réapparaître les images grâce à sa matérialisation sur une surface par la projection. Ici, l’apparition est double : celle des visages se double de celle de l’espace lui-même, révélé par les images projetées sur lui.Mouvements secrets des images fixes : Catalogue d'exposition Galerie municipale Jean-Collet, Vitry-sur-Seine,19 Mar - 07 Mai 2017 [texte imprimé] / Alain Fleischer (1944-....), Artiste ; Évelyne Artaud (1950-....), Commissaire d'exposition . - Vitry-sur-Seine (94400, France) : Galerie municipale Jean-Collet, 2017 . - 96 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 25 x 19 cm.
ISBN : 979-10-94152-11-9
biographie de l'artiste, p 95
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Art vidéo , Littérature et cinéma , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie vidéo film littérature regard visible invisible présence absence vie mort France 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : L’exposition « Mouvements secrets des images fixes » à la galerie municipale Jean-Collet de Vitry-sur-Seine présente des photographies et installations visuelles d’Alain Fleischer qui témoignent d’un questionnement sur le médium photographique et sur la teneur matérielle de l’expérience artistique. Les réalisations du réalisateur, vidéaste, photographe et écrivain Alain Fleischer ont pour ambition d’inciter le spectateur à exercer son propre regard. L’exposition présente trois de ses œuvres qui invitent à expérimenter directement la frontière qui sépare le visible de l’invisible, la présence de l’absence, le réel du fictif, la vie de la mort.
La série photographique La Nuit des visages fait de la nuit un espace où les images de personnes disparues peuvent apparaître telles des revenants, par le biais de la photographie qui les expose à la vue des vivants par des projection lumineuse sur différentes surfaces plongées dans le noir. Pour cela, Alain Fleischer a opéré une réappropriation de la photographie par elle-même en photographiant des clichés exposés en médaillons sur les tombes de cimetières italiens. Projetées en grand format sur divers éléments du paysage nocturne, des visages de femmes photographiés lorsqu’elles étaient encore en vie sont rappelés par la photographie et figés dans le temps, au-delà de leur mort. Ainsi s’affirme le pouvoir de la photographie de recycler ses propres images, de les réintroduire dans le cycle éternel de vie et de mort.
Dans l’installation interactive À la recherche de Stella, trois cents visages de femmes sont projetés dans un espace plongé dans le noir. Ces projections ne forment que d’aveuglant rayons lumineux, que le spectateur est incité à renvoyer grâce à un miroir sur le mur, le sol, le plafond… Ainsi, c’est le spectateur qui fait apparaître les images qui demeuraient invisibles jusqu’à son action. A nouveau, l’œuvre souligne la capacité de l’outil photographique de faire réapparaître les images grâce à sa matérialisation sur une surface par la projection. Ici, l’apparition est double : celle des visages se double de celle de l’espace lui-même, révélé par les images projetées sur lui.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131222 U MONO FLEIS Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Picalso [sic] / Sophie Calle / Paris : Éditions Xavier Barral (2023)
Titre : Picalso [sic] Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Calle (1953-....), Auteur ; Yves-Alain Bois, Auteur Editeur : Paris : Éditions Xavier Barral Année de publication : 2023 Importance : 1 volume (193 pages) Présentation : illustration en noir et en couleur, fac-sim. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36511-380-9 Prix : 52 € Langues : Français (fre) Catégories : Femme artiste -- 21e siècle , Iconoclasme -- Catalogues d'exposition , Livre et art , Photographie -- 21e siècle , Picasso, Pablo (1881-1973). Guernica, 1937 Mots-clés : Photographie Arts plastiques emballage iconoclasme plasticienne femme souvenir manque absence disparition livre d'artiste Picasso France 21e siècle Index. décimale : 745 Arts décoratifs, arts mineurs, art populaire Résumé : À l'occasion du 50e anniversaire de la disparition de Pablo Picasso, le musée parisien dédié au peintre a invité Sophie Calle à investir l'hôtel Salé. Confrontée à la figure d'un des maîtres de l'art moderne, elle a choisi de vider entièrement les espaces du musée - Picasso est expulsé ! - afin d'y installer ses meubles et objets personnels, dans les étages, et de dérouler, au rez-de-chaussée, une fresque imaginée en écho au célèbre Guernica mais composée comme un immense collage des oeuvres qu'elle échange depuis des années avec d'autres artistes. Pour accompagner cette exposition, "À toi de faire, ma mignonne", Sophie Calle a imaginé un ouvrage dans lequel elle énumère ses « rendez-vous » avec Picasso. Témoignages des gardiens, tableaux empaquetés durant le confinement, etc. : autant d'histoires déclinées dans cet art du récit si particulier à Sophie Calle.
Conçu comme un livre d'artiste avec son format intimiste et ses alternances de papiers Bible et de création, Picalso immerge le lecteur dans l'univers drôle, poétique et singulier de l'artiste.
Un essai d'Yve-Alain Bois, intitulé Picassiette, recontextualise ces « rendez-vous » dans l'oeuvre de Sophie Calle et revisite ses thèmes de prédilection que sont le souvenir, le manque, la disparition ou encore l'absence.Note de contenu : Livre d'artiste accompagnant l'exposition de Sophie Calle au Musée Picasso Paris pour le 50e anniversaire de la disparition de Picasso. Picalso [sic] [texte imprimé] / Sophie Calle (1953-....), Auteur ; Yves-Alain Bois, Auteur . - Paris : Éditions Xavier Barral, 2023 . - 1 volume (193 pages) : illustration en noir et en couleur, fac-sim. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-36511-380-9 : 52 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Femme artiste -- 21e siècle , Iconoclasme -- Catalogues d'exposition , Livre et art , Photographie -- 21e siècle , Picasso, Pablo (1881-1973). Guernica, 1937 Mots-clés : Photographie Arts plastiques emballage iconoclasme plasticienne femme souvenir manque absence disparition livre d'artiste Picasso France 21e siècle Index. décimale : 745 Arts décoratifs, arts mineurs, art populaire Résumé : À l'occasion du 50e anniversaire de la disparition de Pablo Picasso, le musée parisien dédié au peintre a invité Sophie Calle à investir l'hôtel Salé. Confrontée à la figure d'un des maîtres de l'art moderne, elle a choisi de vider entièrement les espaces du musée - Picasso est expulsé ! - afin d'y installer ses meubles et objets personnels, dans les étages, et de dérouler, au rez-de-chaussée, une fresque imaginée en écho au célèbre Guernica mais composée comme un immense collage des oeuvres qu'elle échange depuis des années avec d'autres artistes. Pour accompagner cette exposition, "À toi de faire, ma mignonne", Sophie Calle a imaginé un ouvrage dans lequel elle énumère ses « rendez-vous » avec Picasso. Témoignages des gardiens, tableaux empaquetés durant le confinement, etc. : autant d'histoires déclinées dans cet art du récit si particulier à Sophie Calle.
Conçu comme un livre d'artiste avec son format intimiste et ses alternances de papiers Bible et de création, Picalso immerge le lecteur dans l'univers drôle, poétique et singulier de l'artiste.
Un essai d'Yve-Alain Bois, intitulé Picassiette, recontextualise ces « rendez-vous » dans l'oeuvre de Sophie Calle et revisite ses thèmes de prédilection que sont le souvenir, le manque, la disparition ou encore l'absence.Note de contenu : Livre d'artiste accompagnant l'exposition de Sophie Calle au Musée Picasso Paris pour le 50e anniversaire de la disparition de Picasso. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131361 MONO CALL Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt L'usage de la photo / Annie Ernaux / Paris [France] : Gallimard (2005)
Titre : L'usage de la photo Type de document : texte imprimé Auteurs : Annie Ernaux (1940-....), Auteur ; Marc Marie (1962-2022), Auteur Editeur : Paris [France] : Gallimard Année de publication : 2005 Collection : Collection Folio Importance : 150 p. Présentation : ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032098-1 Prix : 8,10 euros Langues : Français (fre) Catégories : Autoportrait photographique , Biographie -- Dans l'art , Cancer -- Aspect psychologique , Littérature -- France -- 21e siècle , Mort -- Dans l'art Mots-clés : Littérature Photographie autobiographie autoportrait photobiographie cancer mort enquête métaphysique vêtement amour Saint Suaire absence présence Philippe Lejeune Michel Beaujour Gilles Mora Roland Barthes Didi-Huberman France 21e siècle Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : «Souvent, depuis le début de notre relation, j'étais restée fascinée en découvrant au réveil la table non desservie du dîner, les chaises déplacées, nos vêtements emmêlés, jetés par terre n'importe où la veille au soir en faisant l'amour. C'était un paysage à chaque fois différent. Je me demande pourquoi l'idée de le photographier ne m'est pas venue plus tôt. Ni pourquoi je n'ai jamais proposé cela à aucun homme. Peut-être considérais-je qu'il y avait là quelque chose de vaguement honteux, ou d'indigne. En un sens, il était moins obscène pour moi de photographier le sexe de M. Peut-être aussi ne pouvais-je le faire qu'avec cet homme-là et qu'à cette période de ma vie.» Annie Ernaux.
A la suite d'une expérience personnelle tragique — un cancer du sein qui a failli lui coûter la vie, Annie Ernaux publie en mars 2005 un livre surprenant, L'Usage de la photo. Jouant sur l'expérimentation littéraire, Ernaux emprunte le pacte référentiel à l'autobiographie, le processus d'analyse en cours à l'autoportrait, ainsi que les caractéristiques propres à la photographie et à la photobiographie pour se lancer dans un questionnement sur le cancer et sur la mort, qu'elle conduit tantôt sur le mode de l'enquête policière, tantôt sur le mode de l'interrogation métaphysique. Choses fortuites, les photographies successives de vêtements abandonnés après l'acte amoureux forment un kaléidoscope de formes et de couleurs qui doivent susciter l'analyse et finalement mener à une révélation épiphanique. Les vêtements vides, à la fois anthropomorphiques et inanimés, l'inquiétante étrangeté d'un tableau de Chirico ornant les murs dépouillés d'un appartement modeste, et une réflexion sur l'épithète argentique qualifiant un type de photographie tombant en désuétude servent tous à suggérer l'étrange relation de l'absence à la présence, évoquant finalement le mystère de la mort. Empruntant la dialectique manichéenne, Ernaux utilise l'image du Saint Suaire pour renforcer le lien entre le corps et l'écriture, désignant L'Usage de la photo comme le cénotaphe devant contenir in absentia l'analogon corps-corpus de son œuvre. Le texte mène ultimement à la révélation épiphanique d'une re-co-naissance — reconnaissance pour la valeur de la vie, connaissance des mystères de l'absence, co-naissance tout à la fois du texte à deux voix et de Marie à l'écriture. L'article s'inspire des thèses de Philippe Lejeune, Michel Beaujour, Gilles Mora et Roland Barthes en ce qui concerne la discussion des genres littéraires et l'exploitation des caractéristiques inhérentes à la photographie. Les essais de Didi-Huberman informent l'analyse de la relation du fortuit à l'écriture expérimentale et ont fourni l'image du kaléidoscope comme modèle théorique.L'usage de la photo [texte imprimé] / Annie Ernaux (1940-....), Auteur ; Marc Marie (1962-2022), Auteur . - Paris (France) : Gallimard, 2005 . - 150 p. : ill. ; 21 cm. - (Collection Folio) .
ISBN : 978-2-07-032098-1 : 8,10 euros
Langues : Français (fre)
Catégories : Autoportrait photographique , Biographie -- Dans l'art , Cancer -- Aspect psychologique , Littérature -- France -- 21e siècle , Mort -- Dans l'art Mots-clés : Littérature Photographie autobiographie autoportrait photobiographie cancer mort enquête métaphysique vêtement amour Saint Suaire absence présence Philippe Lejeune Michel Beaujour Gilles Mora Roland Barthes Didi-Huberman France 21e siècle Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : «Souvent, depuis le début de notre relation, j'étais restée fascinée en découvrant au réveil la table non desservie du dîner, les chaises déplacées, nos vêtements emmêlés, jetés par terre n'importe où la veille au soir en faisant l'amour. C'était un paysage à chaque fois différent. Je me demande pourquoi l'idée de le photographier ne m'est pas venue plus tôt. Ni pourquoi je n'ai jamais proposé cela à aucun homme. Peut-être considérais-je qu'il y avait là quelque chose de vaguement honteux, ou d'indigne. En un sens, il était moins obscène pour moi de photographier le sexe de M. Peut-être aussi ne pouvais-je le faire qu'avec cet homme-là et qu'à cette période de ma vie.» Annie Ernaux.
A la suite d'une expérience personnelle tragique — un cancer du sein qui a failli lui coûter la vie, Annie Ernaux publie en mars 2005 un livre surprenant, L'Usage de la photo. Jouant sur l'expérimentation littéraire, Ernaux emprunte le pacte référentiel à l'autobiographie, le processus d'analyse en cours à l'autoportrait, ainsi que les caractéristiques propres à la photographie et à la photobiographie pour se lancer dans un questionnement sur le cancer et sur la mort, qu'elle conduit tantôt sur le mode de l'enquête policière, tantôt sur le mode de l'interrogation métaphysique. Choses fortuites, les photographies successives de vêtements abandonnés après l'acte amoureux forment un kaléidoscope de formes et de couleurs qui doivent susciter l'analyse et finalement mener à une révélation épiphanique. Les vêtements vides, à la fois anthropomorphiques et inanimés, l'inquiétante étrangeté d'un tableau de Chirico ornant les murs dépouillés d'un appartement modeste, et une réflexion sur l'épithète argentique qualifiant un type de photographie tombant en désuétude servent tous à suggérer l'étrange relation de l'absence à la présence, évoquant finalement le mystère de la mort. Empruntant la dialectique manichéenne, Ernaux utilise l'image du Saint Suaire pour renforcer le lien entre le corps et l'écriture, désignant L'Usage de la photo comme le cénotaphe devant contenir in absentia l'analogon corps-corpus de son œuvre. Le texte mène ultimement à la révélation épiphanique d'une re-co-naissance — reconnaissance pour la valeur de la vie, connaissance des mystères de l'absence, co-naissance tout à la fois du texte à deux voix et de Marie à l'écriture. L'article s'inspire des thèses de Philippe Lejeune, Michel Beaujour, Gilles Mora et Roland Barthes en ce qui concerne la discussion des genres littéraires et l'exploitation des caractéristiques inhérentes à la photographie. Les essais de Didi-Huberman informent l'analyse de la relation du fortuit à l'écriture expérimentale et ont fourni l'image du kaléidoscope comme modèle théorique.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131265 701 ERNA Monographie Salle de consultation Littérature Exclu du prêt Ciel au-dessus d'Arles I / Alain Fleischer / 1989 / Propriété du Musée Réattu Diapositive Collection permanente
PermalinkErratum / Sophie Calle / Paris : Éditions Xavier Barral (2023)
PermalinkLuca Gilli, Incognita / Luca Gilli / Paris : First (2022)
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