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Les empreintes textiles de Théa Bernard / Théa Bernard / Arles [France] : Musée Réattu (1984)
Titre : Les empreintes textiles de Théa Bernard : Catalogue d'exposition Musée Réattu, Arles, mars-avril 1984 Type de document : texte imprimé Auteurs : Théa Bernard (1947-....), Artiste Editeur : Arles [France] : Musée Réattu Année de publication : 1984 Importance : 29 p Présentation : couv ill N & B, ill N& B Format : 21 x 21 cm Langues : Français (fre) Catégories : Art textile , Femme artiste -- 20e siècle , Moulage (sculpture ) -- Catalogues d'exposition , Sculpture -- 20e siècle Mots-clés : empreinte moulage moule amidon textile peau tissu cire blancheur momie corps matière sculpture France 20e siècle Index. décimale : 730 Art plastiques. Sculpture Résumé : Matière, rigidité, blancheur, tout dans les textiles de Théa Bernard est signe de distance. Cette distance rédhibitoire qui nous sépare du corps vivant qui n'est jamais qu'un modèle : le double écran du moule de cire et de la carapace amidonnée qui nous regarde. Car pour commencer, ce ne sont pas des empreintes. La naïveté de l'empreinte, marquée en ceux dans un support indissociable (donc inentamé), et sans limites, qui en fait pour ainsi dire un creux en deux dimensions, c'est de ne jamais nous faire face : l'empreinte va toujours dans le sens du regard. Mais sa géométrie incertaine n'est pas celle d'un objet. Comme par hasard, Théa Bernard reprend, pour parler de ce moment où elle détache du moule translucide les formes textiles prises par l'amidon, le même terme que les ouvriers des anciens moulins à papier : elle parle de levage. Tout son travail est effectivement dans cette naissance répétitive où le même rituel fait une place imperceptible à l'aléatoire. Opérée à partir du contact sensible entre deux épidermes, celui de la peau et celui du tissu, si l'on admet de percevoir le glacis de la cire comme un simple moyen technique, cette naissance est immédiatement arrêtée, figée au moment même où elle se fait. Comme si dans le vertige de la blancheur, le frémissement du corps naissant rejoignait instantanément la momie. La présence insidieuse de l'amidon pervertit le tissu, le contrarie jusqu'à la densité de l'écorce, le détache définitivement de nous. Hypertrophie du vêtement, durci en armure, derrière lequel aucun escargot ne fait plus bouger ses cornes, ces "empreintes" devenues autonomes nous font face. (Le corps refuse / Michèle Moutashar) Les empreintes textiles de Théa Bernard : Catalogue d'exposition Musée Réattu, Arles, mars-avril 1984 [texte imprimé] / Théa Bernard (1947-....), Artiste . - Arles (10, rue du Grand Prieuré, 13200, France) : Musée Réattu, 1984 . - 29 p : couv ill N & B, ill N& B ; 21 x 21 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Art textile , Femme artiste -- 20e siècle , Moulage (sculpture ) -- Catalogues d'exposition , Sculpture -- 20e siècle Mots-clés : empreinte moulage moule amidon textile peau tissu cire blancheur momie corps matière sculpture France 20e siècle Index. décimale : 730 Art plastiques. Sculpture Résumé : Matière, rigidité, blancheur, tout dans les textiles de Théa Bernard est signe de distance. Cette distance rédhibitoire qui nous sépare du corps vivant qui n'est jamais qu'un modèle : le double écran du moule de cire et de la carapace amidonnée qui nous regarde. Car pour commencer, ce ne sont pas des empreintes. La naïveté de l'empreinte, marquée en ceux dans un support indissociable (donc inentamé), et sans limites, qui en fait pour ainsi dire un creux en deux dimensions, c'est de ne jamais nous faire face : l'empreinte va toujours dans le sens du regard. Mais sa géométrie incertaine n'est pas celle d'un objet. Comme par hasard, Théa Bernard reprend, pour parler de ce moment où elle détache du moule translucide les formes textiles prises par l'amidon, le même terme que les ouvriers des anciens moulins à papier : elle parle de levage. Tout son travail est effectivement dans cette naissance répétitive où le même rituel fait une place imperceptible à l'aléatoire. Opérée à partir du contact sensible entre deux épidermes, celui de la peau et celui du tissu, si l'on admet de percevoir le glacis de la cire comme un simple moyen technique, cette naissance est immédiatement arrêtée, figée au moment même où elle se fait. Comme si dans le vertige de la blancheur, le frémissement du corps naissant rejoignait instantanément la momie. La présence insidieuse de l'amidon pervertit le tissu, le contrarie jusqu'à la densité de l'écorce, le détache définitivement de nous. Hypertrophie du vêtement, durci en armure, derrière lequel aucun escargot ne fait plus bouger ses cornes, ces "empreintes" devenues autonomes nous font face. (Le corps refuse / Michèle Moutashar) Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 119355 MONO BERN Catalogue d'exposition Magasin 1 Monographies d'artistes Exclu du prêt 131210 U EXPO 1984 Catalogue d'exposition Publications musée Réattu Monographies d'artistes Exclu du prêt Tina Mérandon / Tina Mérandon / Paris : Editions Loco (2022)
Titre : Tina Mérandon : Tisser sa toile Type de document : texte imprimé Auteurs : Tina Mérandon (1963-....), Photographe ; Sylvie Hugues, Auteur ; Tania Lévy, Auteur ; Pierre Martin, Auteur Editeur : Paris : Editions Loco Année de publication : 2022 Importance : 68 p Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 29,8 x 22,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84314-070-9 Prix : 27 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Photographie photographe femme statuaire féminine mère fille ombre voile textile icône byzantine France 21e siècle Résumé : Dans Tisser sa toile, Tina Mérandon aborde la relation mère-fi lle d'un point de vue très originale. Profi tant d'une résidence artistique en Bretagne, elle a utilisé l'idée de la trame tissée (draps et nappes, objets textiles ayant souvent été associés aux rituels domestiques qui reliaient les femmes entre elles) pour faire poser, derrière un voile, mère et fi lle ensemble. Les ombres projetées ne sont pas sans évoquer la caverne de Platon. Il y a ainsi une dimension archaïque dans cette relation mère-fi lle, appuyé par ce théâtre d'ombre qui évoque également lespeintures rupestres aux limites de la représentation. C'est pourquoi, à cette idée d'une image archaïque, l'artiste a voulu y associer des images de statuaires féminines relevées dans les calvaires du Finistère datant des XVIe ou XVIIe siècles, époque opulente que la région vivait alors grâce au commerce de la toile de lin. Traitées dans le livre par une impression dorée sur un papier noir, ouvrant et fermant l'ouvrage, elles ne sont pas sans évoquer également les origines d'une représentation occidentale que sont les icônes byzantines. Tina Mérandon : Tisser sa toile [texte imprimé] / Tina Mérandon (1963-....), Photographe ; Sylvie Hugues, Auteur ; Tania Lévy, Auteur ; Pierre Martin, Auteur . - Paris : Editions Loco, 2022 . - 68 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 29,8 x 22,5 cm.
ISBN : 978-2-84314-070-9 : 27 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Photographie photographe femme statuaire féminine mère fille ombre voile textile icône byzantine France 21e siècle Résumé : Dans Tisser sa toile, Tina Mérandon aborde la relation mère-fi lle d'un point de vue très originale. Profi tant d'une résidence artistique en Bretagne, elle a utilisé l'idée de la trame tissée (draps et nappes, objets textiles ayant souvent été associés aux rituels domestiques qui reliaient les femmes entre elles) pour faire poser, derrière un voile, mère et fi lle ensemble. Les ombres projetées ne sont pas sans évoquer la caverne de Platon. Il y a ainsi une dimension archaïque dans cette relation mère-fi lle, appuyé par ce théâtre d'ombre qui évoque également lespeintures rupestres aux limites de la représentation. C'est pourquoi, à cette idée d'une image archaïque, l'artiste a voulu y associer des images de statuaires féminines relevées dans les calvaires du Finistère datant des XVIe ou XVIIe siècles, époque opulente que la région vivait alors grâce au commerce de la toile de lin. Traitées dans le livre par une impression dorée sur un papier noir, ouvrant et fermant l'ouvrage, elles ne sont pas sans évoquer également les origines d'une représentation occidentale que sont les icônes byzantines. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131279 MONO MERA Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Drapé / Éric Pagliano / Montreuil-sous-Bois [France] : Lienart (DL 2019)
Titre : Drapé : Degas, Christo, Michel-Ange, Rodin, Man Ray, Dürer... Type de document : texte imprimé Auteurs : Éric Pagliano, Commissaire d'exposition ; Sylvie Ramond (1955-....), Commissaire d'exposition Editeur : Montreuil-sous-Bois [France] : Lienart Année de publication : DL 2019 Autre Editeur : Lyon [France] : Musée des beaux-arts Importance : 1 vol. (358 p.) Présentation : ill. en noir et coul., couv. ill. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35906-301-1 Prix : 44 € Note générale : Exposition Musée des Beaux-Arts de Lyon du 30 novembre 2019 au 8 mars 2020 Langues : Français (fre) Catégories : Drapé (art) , Pli -- Dans l'art Mots-clés : drapé pli dessin peinture sculpture textile tissu ombre lumière draperie motif Renaissance XVIe s. XVIIe s. XVIIIE s. XIXe s. XXe s. photographie Ernest Pignon-Ernest Maurizio Cattelan Mathieu Pernot Gino Severini George Grosz Index. décimale : 741.2 Dessin - Techniques, procédés, appareils, équipement, matériel Résumé : Le musée des Beaux-Arts de Lyon conserve un dessin exceptionnel d'Albrecht Dürer étudiant un pan de draperie. Cette étude minutieuse révèle comment la souplesse d'un tissu se prête à une infinité de plis, soulignés par des jeux d'ombres et de lumières.
Comment une draperie est-elle mise en place?? Pour quelles raisons ce motif perdure-t-il jusqu'Ã aujourd'hui?? Comment expliquer son pouvoir de fascination??
Ce sont les questions auxquelles cet ouvrage entend répondre. Le lecteur est invité à pénétrer à l'intérieur des ateliers d'artistes les plus remarquables, tels que Nicolas Poussin, Gustave Moreau ou Ingres, à entrer dans la «fabrique?» de la draperie et à se placer au plus près du geste artistique, à suivre les étapes d'élaboration d'une draperie, pour découvrir les pratiques singulières des artistes depuis la Renaissance jusqu'à la seconde moitié du xxe siècle.
Le dessin est au coeur du propos tout en étant confronté à d'autres techniques: peinture, sculpture, photographie. Si avec l'invention de nouveaux médiums artistiques comme la photographie, l'élaboration patiente d'une draperie semble appartenir à un régime esthétique révolu, des artistes comme George Grosz, Fernand Léger ou Gino Severini continuent de travailler ce motif. Pour certains artistes contemporains, la draperie reste un défi, celui de donner à voir la texture du tissu et le détail des plis. Pour d'autres, elle est porteuse d'une dimension sociale, anthropologique et politique. Ernest Pignon-Ernest, Maurizio Cattelan ou encore Mathieu Pernot inscrivent quant à eux leurs oeuvres dans le sillage d'une «survivance?» de la draperie à travers le temps.Note de contenu : Liste des oeuvres exposées, Le drapé dans les chorégraphies : Liste des captations présentées dans le parcours de l'exposition, Artistes exposés, bibliographie Drapé : Degas, Christo, Michel-Ange, Rodin, Man Ray, Dürer... [texte imprimé] / Éric Pagliano, Commissaire d'exposition ; Sylvie Ramond (1955-....), Commissaire d'exposition . - Montreuil-sous-Bois (France) : Lienart : Lyon (France) : Musée des beaux-arts, DL 2019 . - 1 vol. (358 p.) : ill. en noir et coul., couv. ill. ; 28 cm.
ISBN : 978-2-35906-301-1 : 44 €
Exposition Musée des Beaux-Arts de Lyon du 30 novembre 2019 au 8 mars 2020
Langues : Français (fre)
Catégories : Drapé (art) , Pli -- Dans l'art Mots-clés : drapé pli dessin peinture sculpture textile tissu ombre lumière draperie motif Renaissance XVIe s. XVIIe s. XVIIIE s. XIXe s. XXe s. photographie Ernest Pignon-Ernest Maurizio Cattelan Mathieu Pernot Gino Severini George Grosz Index. décimale : 741.2 Dessin - Techniques, procédés, appareils, équipement, matériel Résumé : Le musée des Beaux-Arts de Lyon conserve un dessin exceptionnel d'Albrecht Dürer étudiant un pan de draperie. Cette étude minutieuse révèle comment la souplesse d'un tissu se prête à une infinité de plis, soulignés par des jeux d'ombres et de lumières.
Comment une draperie est-elle mise en place?? Pour quelles raisons ce motif perdure-t-il jusqu'Ã aujourd'hui?? Comment expliquer son pouvoir de fascination??
Ce sont les questions auxquelles cet ouvrage entend répondre. Le lecteur est invité à pénétrer à l'intérieur des ateliers d'artistes les plus remarquables, tels que Nicolas Poussin, Gustave Moreau ou Ingres, à entrer dans la «fabrique?» de la draperie et à se placer au plus près du geste artistique, à suivre les étapes d'élaboration d'une draperie, pour découvrir les pratiques singulières des artistes depuis la Renaissance jusqu'à la seconde moitié du xxe siècle.
Le dessin est au coeur du propos tout en étant confronté à d'autres techniques: peinture, sculpture, photographie. Si avec l'invention de nouveaux médiums artistiques comme la photographie, l'élaboration patiente d'une draperie semble appartenir à un régime esthétique révolu, des artistes comme George Grosz, Fernand Léger ou Gino Severini continuent de travailler ce motif. Pour certains artistes contemporains, la draperie reste un défi, celui de donner à voir la texture du tissu et le détail des plis. Pour d'autres, elle est porteuse d'une dimension sociale, anthropologique et politique. Ernest Pignon-Ernest, Maurizio Cattelan ou encore Mathieu Pernot inscrivent quant à eux leurs oeuvres dans le sillage d'une «survivance?» de la draperie à travers le temps.Note de contenu : Liste des oeuvres exposées, Le drapé dans les chorégraphies : Liste des captations présentées dans le parcours de l'exposition, Artistes exposés, bibliographie Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 130951 U PLI DRAP Catalogue d'exposition Salle de consultation Beaux-arts Exclu du prêt