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Baya / Nathalie Bondil / Marseille : Editions Images Plurielles (2022)
Titre : Baya : Femmes en leur Jardin ; [exposition, Paris, Institut du monde arabe, du 8 novembre 2022 au 26 mars 2023 Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Bondil (1967-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Anissa Bouayed (19..-....), Commissaire d'exposition ; Djamila Chakour (19..-....), Commissaire d'exposition ; Claude Lemand (1945-....), Commissaire d'exposition ; Institut du monde arabe (Paris, France), Collectivité éditrice ; Marseille, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Baya (1931-1998), Artiste ; Jack Lang (1939-....), Préfacier, etc. ; Payan (1978-.....), Préfacier, etc. ; Nathalie Bondil (1967-....), Préfacier, etc. ; Nicolas Misery (1982-....), Préfacier, etc. Editeur : Marseille : Editions Images Plurielles Année de publication : 2022 Autre Editeur : Paris [France] : Institut du monde arabe Importance : 1 volume (283 pages) Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 31 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-919436-57-6 Prix : 38 € Langues : Français (fre) Catégories : Algérie -- Dans l'art , Céramique -- 20e siècle , Couleur -- Dans la peinture , Femme artiste -- 20e siècle , Peinture -- 20e siècle , Sculpture -- 20e siècle Mots-clés : Peinture couleur Algérie France colonialisme femme musique spiritualité 20e siècle céramique sculpture Index. décimale : 750 La peinture et les peintres Résumé : "Les mots pour parler de Baya sont souvent piégés, car ils ressassent l’idée du miracle initial ou qualifient son art d’art naïf. L’un obère toute réelle historicité au regard de sa trajectoire et l’autre empêche de voir la singularité de son art, son raffinement, ses évolutions, sa dimension spirituelle." Anissa Bouayed. Baya n’a pas souffert, comme d’autres femmes artistes, d’un manque de visibilité : elle avait 16 ans lors de la première grande exposition de ses œuvres, organisée à Paris en 1947 par le galeriste Aimé Maeght. Son travail, qualifié à tort « d’art naïf » ou « d'art brut », a exercé une influence majeure, particulièrement en Algérie où elle fut beaucoup imitée par les générations formées après l’Indépendance, pour sa singularité, son raffinement et sa dimension spirituelle. Les œuvres de Baya conservées au musée de l’Institut du monde arabe, augmentées de la donation Claude et France Lemand, forment un ensemble documentant toutes ses périodes d’activité, de 1947 à sa mort en 1998. Elles viennent compléter le fabuleux trésor des Archives nationales d'Outre-Mer d'Aix-en-Provence et d'autres prêts. L'ensemble permet de saisir l’évolution de sa peinture – avec notamment l’introduction du thème de la musique à partir des années 1960 –, jusqu’aux émouvantes œuvres de 1998, les dernières réalisées par l’artiste. « Baya. Femmes en leur Jardin » apportera aussi, dans une perspective d’études coloniales et décoloniales, un éclairage inédit sur le « cas Baya », étayé par l’exploration de ses archives, en particulier sa correspondance avec sa mère adoptive Marguerite Caminat. Comment cette jeune fille non scolarisée (comme 98% des filles « indigènes » de sa génération), qui a connu souffrance et violence, devint-elle, à la fin de la période coloniale, cette Baya maîtrisant le langage des formes et des couleurs et créant un style bien identifiable, propulsée dès l’âge de 16 ans au sommet de la notoriété, éblouissant les amateurs d'art parisiens et faisant l'objet d'une double page (écrite par Edmonde Charles-Roux) dans le magazine Vogue. Des visites, conférences, rencontres et publications analyseront le contexte historique, social, économique et esthétique de production de chacune des périodes du parcours de Baya, et étudieront les œuvres dans ce qu’elles ont de contingent, d’unique et d’universel. Prêts exceptionnels de : Archives nationales d’Outre-mer (ANOM, Aix-en-Provence), Fondation Kamel Lazaar (Tunis), Galerie Maeght (Paris), Musée Réattu (Arles), Musée d’art moderne de Lille métropole (LaM, Villeneuve-d’Ascq), Musée Cantini (Marseille), Musée d’Art Naïf et d’Arts Singuliers (MANAS, Laval), Centre national des arts plastiques (CNAP, Paris) et de collections privées historiques. Note de contenu : contient "Grande frise", Musée Réattu Baya : Femmes en leur Jardin ; [exposition, Paris, Institut du monde arabe, du 8 novembre 2022 au 26 mars 2023 [texte imprimé] / Nathalie Bondil (1967-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Anissa Bouayed (19..-....), Commissaire d'exposition ; Djamila Chakour (19..-....), Commissaire d'exposition ; Claude Lemand (1945-....), Commissaire d'exposition ; Institut du monde arabe (Paris, France), Collectivité éditrice ; Marseille, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Baya (1931-1998), Artiste ; Jack Lang (1939-....), Préfacier, etc. ; Payan (1978-.....), Préfacier, etc. ; Nathalie Bondil (1967-....), Préfacier, etc. ; Nicolas Misery (1982-....), Préfacier, etc. . - Marseille (13001) : Editions Images Plurielles : Paris (France) : Institut du monde arabe, 2022 . - 1 volume (283 pages) : couv ill en coul ; ill en coul ; 31 cm.
ISBN : 978-2-919436-57-6 : 38 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Algérie -- Dans l'art , Céramique -- 20e siècle , Couleur -- Dans la peinture , Femme artiste -- 20e siècle , Peinture -- 20e siècle , Sculpture -- 20e siècle Mots-clés : Peinture couleur Algérie France colonialisme femme musique spiritualité 20e siècle céramique sculpture Index. décimale : 750 La peinture et les peintres Résumé : "Les mots pour parler de Baya sont souvent piégés, car ils ressassent l’idée du miracle initial ou qualifient son art d’art naïf. L’un obère toute réelle historicité au regard de sa trajectoire et l’autre empêche de voir la singularité de son art, son raffinement, ses évolutions, sa dimension spirituelle." Anissa Bouayed. Baya n’a pas souffert, comme d’autres femmes artistes, d’un manque de visibilité : elle avait 16 ans lors de la première grande exposition de ses œuvres, organisée à Paris en 1947 par le galeriste Aimé Maeght. Son travail, qualifié à tort « d’art naïf » ou « d'art brut », a exercé une influence majeure, particulièrement en Algérie où elle fut beaucoup imitée par les générations formées après l’Indépendance, pour sa singularité, son raffinement et sa dimension spirituelle. Les œuvres de Baya conservées au musée de l’Institut du monde arabe, augmentées de la donation Claude et France Lemand, forment un ensemble documentant toutes ses périodes d’activité, de 1947 à sa mort en 1998. Elles viennent compléter le fabuleux trésor des Archives nationales d'Outre-Mer d'Aix-en-Provence et d'autres prêts. L'ensemble permet de saisir l’évolution de sa peinture – avec notamment l’introduction du thème de la musique à partir des années 1960 –, jusqu’aux émouvantes œuvres de 1998, les dernières réalisées par l’artiste. « Baya. Femmes en leur Jardin » apportera aussi, dans une perspective d’études coloniales et décoloniales, un éclairage inédit sur le « cas Baya », étayé par l’exploration de ses archives, en particulier sa correspondance avec sa mère adoptive Marguerite Caminat. Comment cette jeune fille non scolarisée (comme 98% des filles « indigènes » de sa génération), qui a connu souffrance et violence, devint-elle, à la fin de la période coloniale, cette Baya maîtrisant le langage des formes et des couleurs et créant un style bien identifiable, propulsée dès l’âge de 16 ans au sommet de la notoriété, éblouissant les amateurs d'art parisiens et faisant l'objet d'une double page (écrite par Edmonde Charles-Roux) dans le magazine Vogue. Des visites, conférences, rencontres et publications analyseront le contexte historique, social, économique et esthétique de production de chacune des périodes du parcours de Baya, et étudieront les œuvres dans ce qu’elles ont de contingent, d’unique et d’universel. Prêts exceptionnels de : Archives nationales d’Outre-mer (ANOM, Aix-en-Provence), Fondation Kamel Lazaar (Tunis), Galerie Maeght (Paris), Musée Réattu (Arles), Musée d’art moderne de Lille métropole (LaM, Villeneuve-d’Ascq), Musée Cantini (Marseille), Musée d’Art Naïf et d’Arts Singuliers (MANAS, Laval), Centre national des arts plastiques (CNAP, Paris) et de collections privées historiques. Note de contenu : contient "Grande frise", Musée Réattu Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131179 U MONO BAYA Catalogue d'exposition Salle de consultation Beaux-arts Exclu du prêt Carmen Calvo / Emmanuel Guigon / Barcelone [Espagne] : Museo Picasso (2023)
Titre : Carmen Calvo : Catalogue d'exposition, "Carmen Calvo", Museu Picasso de Barcelona, 4 mayo 2023 - 3 septiembre 2023 Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Guigon (1959-....), Commissaire d'exposition ; Combalia Dexeus (1952-....), Commissaire d'exposition ; Carmen Calvo, Artiste ; Museu Picasso (Barcelone, Espagne), Auteur Editeur : Barcelone [Espagne] : Museo Picasso Année de publication : 2023 Importance : 1 volume (181 pages) Présentation : illustrations en couleur Format : 32 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-84-12-64197-4 Langues : Espagnol (spa) Français (fre) Catégories : Collage (art) , Féminisme et art , Femme -- Dans l'art , Femme artiste -- 20e siècle , Femme artiste -- 21e siècle , Peinture , Photographie , Sculpture Mots-clés : Peinture femme artiste sculpture collage objets installation archéologie ironie photographie constructivisme surréalisme féminisme aveuglement Espagne 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 759 Études biographiques, géographiques, historiques relatives à la peinture (analyse, biographies et études sur
les peintres, critique, géographie de la peinture, histoire de la peinture, oeuvres, peintures à l'huile originales
pour les jaquettes de livres, style)Résumé : (...) Après la série Escrituras, Paisajes y Recopilaciones, réalisée avec des coups de pinceau en argile, elle [Carmen Calvo] crée des natures mortes avec des formes abstraites en plâtre, en fer et en argile et travaille avec des objets trouvés chargés d'une grande charge émotionnelle. Elle passe ensuite au médium photographique, avec des agrandissements de photographies des années 1940, 1950 et 1960 qu'elle manipule avec de la peinture et des objets tels que des cordes, des rubans, des mains en cire, des cheveux, des masques et des aiguilles. Il s'agit de portraits collectifs ou individuels d'une époque de silence et de répression, traités avec acidité et ironie et, parfois, touchant à la poésie surréaliste.
Cette exposition anthologique de l'artiste valencienne se compose de 7 salles. On y trouve des peintures de ses débuts interprétées et manipulées par des objets ou des morceaux de peinture. La visite se poursuit dans une salle qui témoigne de la fascination de Calvo pour la disposition d'objets archéologiques et leur relation avec l'histoire. Dans ses Prestatgeries (étagères), elle inclut des formes en plâtre ou en plâtre provenant de moules ou de boîtes en carton, ce qui donne lieu à des blocs géométriques sobres qui rappellent les compositions constructivistes. Dans les espaces suivants, l'artiste valencienne propose un récit très critique de l'Espagne d'après-guerre, jusqu'aux années soixante environ, à travers des photographies et leurs négatifs, altérés avec des matériaux tels que des masques ou des rasoirs. Calvo est en quelque sorte une artiste féministe. Son féminisme n'est pas exprimé de manière explicite ou programmatique, mais il dénonce subtilement et ironiquement les rôles traditionnellement associés aux femmes. Dans l'avant-dernière salle, trois mannequins représentent des corps féminins dont on ne voit que le torse et les jambes. Ils peuvent être interprétés comme des victimes d'une agression ou comme des allusions corporelles à des jeux érotiques entre femmes.
À la fin de l'exposition, on peut voir une pièce fermée qui imite une cage et qui est l'un des éléments les plus remarquables de toute l'exposition pour sa force critique. Il s'agit d'une installation inspirée d'un événement survenu en 1997, lorsque des parents ont enfermé leur fille dans une pièce pendant des semaines à titre de mesure disciplinaire.Carmen Calvo : Catalogue d'exposition, "Carmen Calvo", Museu Picasso de Barcelona, 4 mayo 2023 - 3 septiembre 2023 [texte imprimé] / Emmanuel Guigon (1959-....), Commissaire d'exposition ; Combalia Dexeus (1952-....), Commissaire d'exposition ; Carmen Calvo, Artiste ; Museu Picasso (Barcelone, Espagne), Auteur . - Barcelone (Espagne) : Museo Picasso, 2023 . - 1 volume (181 pages) : illustrations en couleur ; 32 cm.
ISBN : 978-84-12-64197-4
Langues : Espagnol (spa) Français (fre)
Catégories : Collage (art) , Féminisme et art , Femme -- Dans l'art , Femme artiste -- 20e siècle , Femme artiste -- 21e siècle , Peinture , Photographie , Sculpture Mots-clés : Peinture femme artiste sculpture collage objets installation archéologie ironie photographie constructivisme surréalisme féminisme aveuglement Espagne 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 759 Études biographiques, géographiques, historiques relatives à la peinture (analyse, biographies et études sur
les peintres, critique, géographie de la peinture, histoire de la peinture, oeuvres, peintures à l'huile originales
pour les jaquettes de livres, style)Résumé : (...) Après la série Escrituras, Paisajes y Recopilaciones, réalisée avec des coups de pinceau en argile, elle [Carmen Calvo] crée des natures mortes avec des formes abstraites en plâtre, en fer et en argile et travaille avec des objets trouvés chargés d'une grande charge émotionnelle. Elle passe ensuite au médium photographique, avec des agrandissements de photographies des années 1940, 1950 et 1960 qu'elle manipule avec de la peinture et des objets tels que des cordes, des rubans, des mains en cire, des cheveux, des masques et des aiguilles. Il s'agit de portraits collectifs ou individuels d'une époque de silence et de répression, traités avec acidité et ironie et, parfois, touchant à la poésie surréaliste.
Cette exposition anthologique de l'artiste valencienne se compose de 7 salles. On y trouve des peintures de ses débuts interprétées et manipulées par des objets ou des morceaux de peinture. La visite se poursuit dans une salle qui témoigne de la fascination de Calvo pour la disposition d'objets archéologiques et leur relation avec l'histoire. Dans ses Prestatgeries (étagères), elle inclut des formes en plâtre ou en plâtre provenant de moules ou de boîtes en carton, ce qui donne lieu à des blocs géométriques sobres qui rappellent les compositions constructivistes. Dans les espaces suivants, l'artiste valencienne propose un récit très critique de l'Espagne d'après-guerre, jusqu'aux années soixante environ, à travers des photographies et leurs négatifs, altérés avec des matériaux tels que des masques ou des rasoirs. Calvo est en quelque sorte une artiste féministe. Son féminisme n'est pas exprimé de manière explicite ou programmatique, mais il dénonce subtilement et ironiquement les rôles traditionnellement associés aux femmes. Dans l'avant-dernière salle, trois mannequins représentent des corps féminins dont on ne voit que le torse et les jambes. Ils peuvent être interprétés comme des victimes d'une agression ou comme des allusions corporelles à des jeux érotiques entre femmes.
À la fin de l'exposition, on peut voir une pièce fermée qui imite une cage et qui est l'un des éléments les plus remarquables de toute l'exposition pour sa force critique. Il s'agit d'une installation inspirée d'un événement survenu en 1997, lorsque des parents ont enfermé leur fille dans une pièce pendant des semaines à titre de mesure disciplinaire.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131407 MONO CALV Monographie Magasin 1 Beaux-arts Exclu du prêt Dolorès Marat / Dolorès Marat / [Arles] : Actes Sud (2023)
Titre : Dolorès Marat : n°172 Type de document : texte imprimé Auteurs : Dolorès Marat (1944-....), Photographe ; Eric Reinhardt, Auteur Editeur : [Arles] : Actes Sud Année de publication : 2023 Collection : Photo poche, ISSN 0986-4962 Importance : 74 p Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 19 x 12,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-17886-4 Prix : 13,90 € Langues : Français (fre) Catégories : Femme artiste -- 20e siècle , Femme artiste -- 21e siècle , flou (esthétique) , Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Rêve -- Dans l'art Mots-clés : Photographie Photographe femme flou tirage Fresson Michel Fresson papier japonais nuit couleur rêve France 21e siècle Index. décimale : 770.2 Ouvrages divers sur la photographie Résumé : D'abord apprentie chez un photographe de quartier, puis laborantine et photographe au magazine Votre beauté, Dolorès Marat, née en 1944, commence, à presque 40 ans au milieu des années 1990, une oeuvre personnelle peuplée d'énigmes et d'ambiances étranges, de figures séduisantes et sensuelles, de scénarios sans issue.
Le flou de bougé est la composante reconnaissable du travail de Dolorès Marat. Elle se hâte de photographier, répondant à son instinct, et ce mouvement précipité se retrouve dans ses images. Le procédé de tirage Fresson, qu'elle privilégie jusqu'à la mort de Michel Fresson (2020) avant de pratiquer le tirage sur un papier japonais artisanal, donne à ses clichés un aspect velouté et des couleurs spectrales. Elle est une photographe de la nuit, de l'illusion, du rêve.Note de contenu : Biographie et bibliographie sélectives p 69 Dolorès Marat : n°172 [texte imprimé] / Dolorès Marat (1944-....), Photographe ; Eric Reinhardt, Auteur . - [Arles] : Actes Sud, 2023 . - 74 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 19 x 12,5 cm. - (Photo poche, ISSN 0986-4962) .
ISBN : 978-2-330-17886-4 : 13,90 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Femme artiste -- 20e siècle , Femme artiste -- 21e siècle , flou (esthétique) , Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Rêve -- Dans l'art Mots-clés : Photographie Photographe femme flou tirage Fresson Michel Fresson papier japonais nuit couleur rêve France 21e siècle Index. décimale : 770.2 Ouvrages divers sur la photographie Résumé : D'abord apprentie chez un photographe de quartier, puis laborantine et photographe au magazine Votre beauté, Dolorès Marat, née en 1944, commence, à presque 40 ans au milieu des années 1990, une oeuvre personnelle peuplée d'énigmes et d'ambiances étranges, de figures séduisantes et sensuelles, de scénarios sans issue.
Le flou de bougé est la composante reconnaissable du travail de Dolorès Marat. Elle se hâte de photographier, répondant à son instinct, et ce mouvement précipité se retrouve dans ses images. Le procédé de tirage Fresson, qu'elle privilégie jusqu'à la mort de Michel Fresson (2020) avant de pratiquer le tirage sur un papier japonais artisanal, donne à ses clichés un aspect velouté et des couleurs spectrales. Elle est une photographe de la nuit, de l'illusion, du rêve.Note de contenu : Biographie et bibliographie sélectives p 69 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131259 U 770.2 PHOT Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Les empreintes textiles de Théa Bernard / Théa Bernard / Arles [France] : Musée Réattu (1984)
Titre : Les empreintes textiles de Théa Bernard : Catalogue d'exposition Musée Réattu, Arles, mars-avril 1984 Type de document : texte imprimé Auteurs : Théa Bernard (1947-....), Artiste Editeur : Arles [France] : Musée Réattu Année de publication : 1984 Importance : 29 p Présentation : couv ill N & B, ill N& B Format : 21 x 21 cm Langues : Français (fre) Catégories : Art textile , Femme artiste -- 20e siècle , Moulage (sculpture ) -- Catalogues d'exposition , Sculpture -- 20e siècle Mots-clés : empreinte moulage moule amidon textile peau tissu cire blancheur momie corps matière sculpture France 20e siècle Index. décimale : 730 Art plastiques. Sculpture Résumé : Matière, rigidité, blancheur, tout dans les textiles de Théa Bernard est signe de distance. Cette distance rédhibitoire qui nous sépare du corps vivant qui n'est jamais qu'un modèle : le double écran du moule de cire et de la carapace amidonnée qui nous regarde. Car pour commencer, ce ne sont pas des empreintes. La naïveté de l'empreinte, marquée en ceux dans un support indissociable (donc inentamé), et sans limites, qui en fait pour ainsi dire un creux en deux dimensions, c'est de ne jamais nous faire face : l'empreinte va toujours dans le sens du regard. Mais sa géométrie incertaine n'est pas celle d'un objet. Comme par hasard, Théa Bernard reprend, pour parler de ce moment où elle détache du moule translucide les formes textiles prises par l'amidon, le même terme que les ouvriers des anciens moulins à papier : elle parle de levage. Tout son travail est effectivement dans cette naissance répétitive où le même rituel fait une place imperceptible à l'aléatoire. Opérée à partir du contact sensible entre deux épidermes, celui de la peau et celui du tissu, si l'on admet de percevoir le glacis de la cire comme un simple moyen technique, cette naissance est immédiatement arrêtée, figée au moment même où elle se fait. Comme si dans le vertige de la blancheur, le frémissement du corps naissant rejoignait instantanément la momie. La présence insidieuse de l'amidon pervertit le tissu, le contrarie jusqu'à la densité de l'écorce, le détache définitivement de nous. Hypertrophie du vêtement, durci en armure, derrière lequel aucun escargot ne fait plus bouger ses cornes, ces "empreintes" devenues autonomes nous font face. (Le corps refuse / Michèle Moutashar) Les empreintes textiles de Théa Bernard : Catalogue d'exposition Musée Réattu, Arles, mars-avril 1984 [texte imprimé] / Théa Bernard (1947-....), Artiste . - Arles (10, rue du Grand Prieuré, 13200, France) : Musée Réattu, 1984 . - 29 p : couv ill N & B, ill N& B ; 21 x 21 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Art textile , Femme artiste -- 20e siècle , Moulage (sculpture ) -- Catalogues d'exposition , Sculpture -- 20e siècle Mots-clés : empreinte moulage moule amidon textile peau tissu cire blancheur momie corps matière sculpture France 20e siècle Index. décimale : 730 Art plastiques. Sculpture Résumé : Matière, rigidité, blancheur, tout dans les textiles de Théa Bernard est signe de distance. Cette distance rédhibitoire qui nous sépare du corps vivant qui n'est jamais qu'un modèle : le double écran du moule de cire et de la carapace amidonnée qui nous regarde. Car pour commencer, ce ne sont pas des empreintes. La naïveté de l'empreinte, marquée en ceux dans un support indissociable (donc inentamé), et sans limites, qui en fait pour ainsi dire un creux en deux dimensions, c'est de ne jamais nous faire face : l'empreinte va toujours dans le sens du regard. Mais sa géométrie incertaine n'est pas celle d'un objet. Comme par hasard, Théa Bernard reprend, pour parler de ce moment où elle détache du moule translucide les formes textiles prises par l'amidon, le même terme que les ouvriers des anciens moulins à papier : elle parle de levage. Tout son travail est effectivement dans cette naissance répétitive où le même rituel fait une place imperceptible à l'aléatoire. Opérée à partir du contact sensible entre deux épidermes, celui de la peau et celui du tissu, si l'on admet de percevoir le glacis de la cire comme un simple moyen technique, cette naissance est immédiatement arrêtée, figée au moment même où elle se fait. Comme si dans le vertige de la blancheur, le frémissement du corps naissant rejoignait instantanément la momie. La présence insidieuse de l'amidon pervertit le tissu, le contrarie jusqu'à la densité de l'écorce, le détache définitivement de nous. Hypertrophie du vêtement, durci en armure, derrière lequel aucun escargot ne fait plus bouger ses cornes, ces "empreintes" devenues autonomes nous font face. (Le corps refuse / Michèle Moutashar) Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 119355 MONO BERN Catalogue d'exposition Magasin 1 Monographies d'artistes Exclu du prêt 131210 U EXPO 1984 Catalogue d'exposition Publications musée Réattu Monographies d'artistes Exclu du prêt Femmes-artistes : quand l'art se conjugue au féminin pluriel / Marie C. Aubert in La Gazette Drouot, n° 42 (23 novembre 2001)
[article]
Titre : Femmes-artistes : quand l'art se conjugue au féminin pluriel Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie C. Aubert, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 35 Langues : Français (fre) Catégories : Femme artiste -- 20e siècle , Femme artiste -- 21e siècle En ligne : http://www.gazette-drouot.com
in La Gazette Drouot > n° 42 (23 novembre 2001) . - p. 35[article] Femmes-artistes : quand l'art se conjugue au féminin pluriel [texte imprimé] / Marie C. Aubert, Auteur . - 2001 . - p. 35.
Langues : Français (fre)
in La Gazette Drouot > n° 42 (23 novembre 2001) . - p. 35
Catégories : Femme artiste -- 20e siècle , Femme artiste -- 21e siècle En ligne : http://www.gazette-drouot.com Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Femmes photographes de guerre / Paris [France] : Paris Musées (2022)
PermalinkFernande Olivier et Pablo Picasso / Nathalie Bondil / Paris [France] : In-fine (2022)
PermalinkGermaine Richier / Germaine Richier / Lyon : Fage éditions (2017)
PermalinkGermaine Richier / Ariane Coulondre ; Centre national d'art et de culture Georges Pompidou (Paris, France) / Paris : Centre Georges Pompidou (2023)
PermalinkGermaine Richier / Germaine Richier / Paris [France] : Bayard (2023)
PermalinkGermaine Richier / Germaine Richier / Dijon : Éditions Faton (2023)
PermalinkGermaine Richier / Germaine Richier / Paris [France] : Télérama (2023)
PermalinkMey Rahola, Fotografa / 1897-1959 / Bertran Xirau / Barcelone [Espagne] : Museu nacional d'art de Catalunya (2022)
PermalinkMoi, petit vampire de Molinier / Michelle Sesquès / Bordeaux : Pleine page (2015)
PermalinkReportages de guerre / Lee Miller / Paris : Editions Bartillat (2022)
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