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L'esthétique des Trente glorieuse / Gwenaële Rot / Trouville-sur-Mer [France] : Librairie des musées (2020)
Titre : L'esthétique des Trente glorieuse : de la reconstruction à la croissance industrielle ; [actes du colloque de Cerisy-la-Salle, juin 2019] Type de document : texte imprimé Auteurs : Gwenaële Rot (1969-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Vatin (1957-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Trouville-sur-Mer [France] : Librairie des musées Année de publication : 2020 Importance : 1 vol. (295 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 33 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35404-089-5 Prix : 45 EUR Note générale : Table des illustartions p 279, Bibliogr. p. 285-292. Index, p 293 Langues : Français (fre) Catégories : Architecture -- 20e siècle , Art -- Sociologie , Culture -- Sociologie Mots-clés : sociologie art architecture usine travail démocratisation 1945-1975 trente glorieuses esthétique reconstruction croissance industrie économie Index. décimale : 745.409 Études biographiques, géographiques, historiques en relation avec l'art et le design industriels Résumé : On considère avec nostalgie les Trente Glorieuses comme si, dans les années 1945-1975, avait régné l'abondance économique, alors qu'il fallait d'abord reconstruire un pays en ruine, mais on dénigre son bilan idéologique et culturel, dominé par une croyance illusoire au progrès. Pollution, urbanisme sans âme, matières plastiques imputrescibles, tels seraient les seuls legs de ce temps d'inconscience. Aussi, l'architecture et l'art monumental des Trente Glorieuses, encore mal-aimées, ont subi beaucoup de destructions et commencent à peine à être patrimonialisées.
Or, comme le montrent les études réunies ici, en dépit de l'urgence de la reconstruction, on a accordé à cette époque une grande importance aux questions esthétiques. On faisait confiance aux nouveaux moyens techniques pour faire du beau moins cher à destination du plus grand nombre.
Esthétique fonctionnelle et démocratisation artistique sont étroitement liées. On comprend dès lors le rôle central de l'industrie dans les représentations de cette époque. Contre l'opposition romantique du beau et de l'utile, il fallait réinstaller le monde industriel dans les valeurs humaines. Les usines, aussi, devaient être belles comme fonctionnelles et constituer un objet d'intérêt pour l'art. La démocratisation du beau exigeait qu'il s'impose dans les lieux de travail.
Inversement, l'expérience industrielle de la simplicité, de la cohérence, pouvait nourrir l'inspiration artistique.
Réunissant vingt-quatre spécialistes qui croisent leurs multiples terrains, cet ouvrage vise, non à défendre l'esthétique des Trente Glorieuses, mais à la restituer dans sa complexité. Il invite le lecteur à regarder un peu différemment un passé trop proche pour qu'on puisse encore pleinement l'estimer.L'esthétique des Trente glorieuse : de la reconstruction à la croissance industrielle ; [actes du colloque de Cerisy-la-Salle, juin 2019] [texte imprimé] / Gwenaële Rot (1969-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Vatin (1957-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Trouville-sur-Mer (14360, France) : Librairie des musées, 2020 . - 1 vol. (295 p.) : ill. en coul. ; 33 cm.
ISBN : 978-2-35404-089-5 : 45 EUR
Table des illustartions p 279, Bibliogr. p. 285-292. Index, p 293
Langues : Français (fre)
Catégories : Architecture -- 20e siècle , Art -- Sociologie , Culture -- Sociologie Mots-clés : sociologie art architecture usine travail démocratisation 1945-1975 trente glorieuses esthétique reconstruction croissance industrie économie Index. décimale : 745.409 Études biographiques, géographiques, historiques en relation avec l'art et le design industriels Résumé : On considère avec nostalgie les Trente Glorieuses comme si, dans les années 1945-1975, avait régné l'abondance économique, alors qu'il fallait d'abord reconstruire un pays en ruine, mais on dénigre son bilan idéologique et culturel, dominé par une croyance illusoire au progrès. Pollution, urbanisme sans âme, matières plastiques imputrescibles, tels seraient les seuls legs de ce temps d'inconscience. Aussi, l'architecture et l'art monumental des Trente Glorieuses, encore mal-aimées, ont subi beaucoup de destructions et commencent à peine à être patrimonialisées.
Or, comme le montrent les études réunies ici, en dépit de l'urgence de la reconstruction, on a accordé à cette époque une grande importance aux questions esthétiques. On faisait confiance aux nouveaux moyens techniques pour faire du beau moins cher à destination du plus grand nombre.
Esthétique fonctionnelle et démocratisation artistique sont étroitement liées. On comprend dès lors le rôle central de l'industrie dans les représentations de cette époque. Contre l'opposition romantique du beau et de l'utile, il fallait réinstaller le monde industriel dans les valeurs humaines. Les usines, aussi, devaient être belles comme fonctionnelles et constituer un objet d'intérêt pour l'art. La démocratisation du beau exigeait qu'il s'impose dans les lieux de travail.
Inversement, l'expérience industrielle de la simplicité, de la cohérence, pouvait nourrir l'inspiration artistique.
Réunissant vingt-quatre spécialistes qui croisent leurs multiples terrains, cet ouvrage vise, non à défendre l'esthétique des Trente Glorieuses, mais à la restituer dans sa complexité. Il invite le lecteur à regarder un peu différemment un passé trop proche pour qu'on puisse encore pleinement l'estimer.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131119 U 725.4 ROT Monographie Salle de consultation Architecture et urbanisme Exclu du prêt Du merveilleux en architecture au conte photographique / Philippe de Gobert / Octopus éditions (2021)
Titre : Du merveilleux en architecture au conte photographique : Philippe de Gobert : exposition, Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, du 29 mai au 7 novembre 2021 Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe de Gobert, Photographe ; Annette Haudiquet, Commissaire d'exposition ; MuMa - Musée d'art moderne André Malraux (Le Havre), Auteur Editeur : Octopus éditions Année de publication : 2021 Autre Editeur : Le Havre [France] : MuMa-Musée d'art moderne André Malraux Importance : 168 p Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 29 x 21,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-900314-26-5 Langues : Français (fre) Catégories : Architecture -- 20e siècle , Guerre mondiale (1939-1945) -- Art et guerre , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie photographe guerre 1939-1945 maquette miniature architecture reconstruction ville urbanisme poésie Le Havre France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : Depuis le classement Unesco du centre-ville du Havre en 2005, le MuMa a accueilli une vingtaine d’artistes photographes et vidéastes, français et étrangers, pour susciter et accompagner le changement du regard porté sur cette ville reconstruite. Dans cette continuité, le musée invite cette année Philippe De Gobert (1946, Bruxelles) pour une grande exposition monographique qui nous plonge dans l’univers singulier et poétique d’un artiste féru d’architecture moderniste. Le parcours mêle ses propres photographies et maquettes à des documents d’archives qui révèlent ses références et inspirations. Du Havre devenu une véritable icône de la Reconstruction, Philippe De Gobert esquisse un autre visage, une sorte de double troublant, et réinvente l’histoire de sa renaissance. Philippe De Gobert a découvert Le Havre au printemps 2018. Il s’y est d’abord longuement promené, réunissant de la documentation sur le travail mené par l’architecte Auguste Perret et son équipe pour reconstruire la ville. De retour dans son atelier bruxellois, et selon son mode opératoire habituel, il s’est mis à fabriquer des maquettes d’immeubles inspirés de ceux que l’on voit au Havre. De Gobert construit des maquettes de bâtiments, précise-t-il, « pour en comprendre le fonctionnement ». Pour autant, dans la série havraise, la maquette n’est pas une finalité, mais une étape dans le processus d’élaboration de l’œuvre : la photographie. L’artiste photographie en effet ses maquettes, parfois de l’intérieur, puis inversant le mouvement qui l’avait conduit à mettre le monde en miniature, il exécute de grands tirages pour retrouver une échelle propre au paysage, intégrant des fragments empruntés ou factices de la réalité. Ce corpus, essentiellement constitué de vues d’intérieurs ou de paysages de front de mer, évoque un Havre imaginaire, saisi dans le silence et la pureté de sa naissance, vide, même si l’on distingue, ici et là , les signes discrets d’une présence humaine. Du merveilleux en architecture au conte photographique : Philippe de Gobert : exposition, Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, du 29 mai au 7 novembre 2021 [texte imprimé] / Philippe de Gobert, Photographe ; Annette Haudiquet, Commissaire d'exposition ; MuMa - Musée d'art moderne André Malraux (Le Havre), Auteur . - [S.l.] : Octopus éditions : Le Havre (France) : MuMa-Musée d'art moderne André Malraux, 2021 . - 168 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 29 x 21,5 cm.
ISBN : 978-2-900314-26-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Architecture -- 20e siècle , Guerre mondiale (1939-1945) -- Art et guerre , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie photographe guerre 1939-1945 maquette miniature architecture reconstruction ville urbanisme poésie Le Havre France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : Depuis le classement Unesco du centre-ville du Havre en 2005, le MuMa a accueilli une vingtaine d’artistes photographes et vidéastes, français et étrangers, pour susciter et accompagner le changement du regard porté sur cette ville reconstruite. Dans cette continuité, le musée invite cette année Philippe De Gobert (1946, Bruxelles) pour une grande exposition monographique qui nous plonge dans l’univers singulier et poétique d’un artiste féru d’architecture moderniste. Le parcours mêle ses propres photographies et maquettes à des documents d’archives qui révèlent ses références et inspirations. Du Havre devenu une véritable icône de la Reconstruction, Philippe De Gobert esquisse un autre visage, une sorte de double troublant, et réinvente l’histoire de sa renaissance. Philippe De Gobert a découvert Le Havre au printemps 2018. Il s’y est d’abord longuement promené, réunissant de la documentation sur le travail mené par l’architecte Auguste Perret et son équipe pour reconstruire la ville. De retour dans son atelier bruxellois, et selon son mode opératoire habituel, il s’est mis à fabriquer des maquettes d’immeubles inspirés de ceux que l’on voit au Havre. De Gobert construit des maquettes de bâtiments, précise-t-il, « pour en comprendre le fonctionnement ». Pour autant, dans la série havraise, la maquette n’est pas une finalité, mais une étape dans le processus d’élaboration de l’œuvre : la photographie. L’artiste photographie en effet ses maquettes, parfois de l’intérieur, puis inversant le mouvement qui l’avait conduit à mettre le monde en miniature, il exécute de grands tirages pour retrouver une échelle propre au paysage, intégrant des fragments empruntés ou factices de la réalité. Ce corpus, essentiellement constitué de vues d’intérieurs ou de paysages de front de mer, évoque un Havre imaginaire, saisi dans le silence et la pureté de sa naissance, vide, même si l’on distingue, ici et là , les signes discrets d’une présence humaine. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131421 MONO GOBE Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt