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Titre : 42,84 km² sous le ciel Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Salmon (1943-....), Illustrateur ; Jean-Christophe Bailly (1949-....), Auteur Editeur : [Paris] : Loco Année de publication : DL 2016 Importance : 1 vol. (253 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-919507-50-4 Prix : 35 EUR Note générale : Publ. à l'occasion de l'exposition éponyme, Toulon, Hôtel des arts, 30 janvier-24 avril 2016 Langues : Français (fre) Catégories : Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Portrait (Photographie) , Ville -- Dans la photographie Mots-clés : Photographie ville urbanisme mémoire architecture musée collection Toulon portrait d'une ville portrait 21e siècle 20e siècle récit fête pêcheur sous-marin port Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : La photographe Jacqueline Salmon a toujours trouvé dans les villes et leurs architectures matière à développer des réflexions photographiques. Aussi, sous le titre énigmatique de 42,87 km2 sous le ciel se cache l'ambitieux projet d'une tentative de description d'une ville.
Ce projet s'est constitué sur plusieurs années dans la ville de Toulon: les 42,87 km2 en question représentant la superficie de la ville. Comment représenter une ville est la question que s'est posée Jacqueline Salmon. Ce livre y répond en réunissant autant d'essais photographiques qu'une ville illustre la diversité.
On trouvera donc dans ce «livre-miscellanée» :
- une collection de portraits d'habitants composant une frise allant d'un nouveau-né à un vieillard, traversant tous les âges de la vie, à travers différentes représentations nationales, sociales...
- des ensembles autour d'architectures emblématiques :
Un hôpital, des musées, le port...
- des collections représentant le passé ou le présent d'une ville :
Collections de ballon de rugby, des registres de bagne, des pompons de marins...
- des récits : des fêtes, les sous-marins nucléaires, les pêcheurs...
Sur l'invitation de la photographe, Jean-Christophe Bailly a passé plusieurs jours à déambuler dans Toulon, à faire vivre la ville à travers ses yeux d'écrivain. Il a rapporté de ce séjour un important texte sur Toulon, qui apportera un point de vue complémentaire à ce vaste projet. Des textes plus courts de Bailly ouvriront également chacune des grandes parties développées par Jacqueline Salmon.42,84 km² sous le ciel [texte imprimé] / Jacqueline Salmon (1943-....), Illustrateur ; Jean-Christophe Bailly (1949-....), Auteur . - [Paris] : Loco, DL 2016 . - 1 vol. (253 p.) : ill. en coul. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-919507-50-4 : 35 EUR
Publ. à l'occasion de l'exposition éponyme, Toulon, Hôtel des arts, 30 janvier-24 avril 2016
Langues : Français (fre)
Catégories : Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Portrait (Photographie) , Ville -- Dans la photographie Mots-clés : Photographie ville urbanisme mémoire architecture musée collection Toulon portrait d'une ville portrait 21e siècle 20e siècle récit fête pêcheur sous-marin port Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : La photographe Jacqueline Salmon a toujours trouvé dans les villes et leurs architectures matière à développer des réflexions photographiques. Aussi, sous le titre énigmatique de 42,87 km2 sous le ciel se cache l'ambitieux projet d'une tentative de description d'une ville.
Ce projet s'est constitué sur plusieurs années dans la ville de Toulon: les 42,87 km2 en question représentant la superficie de la ville. Comment représenter une ville est la question que s'est posée Jacqueline Salmon. Ce livre y répond en réunissant autant d'essais photographiques qu'une ville illustre la diversité.
On trouvera donc dans ce «livre-miscellanée» :
- une collection de portraits d'habitants composant une frise allant d'un nouveau-né à un vieillard, traversant tous les âges de la vie, à travers différentes représentations nationales, sociales...
- des ensembles autour d'architectures emblématiques :
Un hôpital, des musées, le port...
- des collections représentant le passé ou le présent d'une ville :
Collections de ballon de rugby, des registres de bagne, des pompons de marins...
- des récits : des fêtes, les sous-marins nucléaires, les pêcheurs...
Sur l'invitation de la photographe, Jean-Christophe Bailly a passé plusieurs jours à déambuler dans Toulon, à faire vivre la ville à travers ses yeux d'écrivain. Il a rapporté de ce séjour un important texte sur Toulon, qui apportera un point de vue complémentaire à ce vaste projet. Des textes plus courts de Bailly ouvriront également chacune des grandes parties développées par Jacqueline Salmon.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131186 U MONO SALM Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt
Titre : Collection : 150 photographies de la collection Bachelot à la Villa Médicis, catalogue d'exposition, Académie de France à Rome, du 7 octobre 2022 au 15 janvier 2023 Type de document : texte imprimé Auteurs : Damien Bachelot (1959-), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Michel Poivert (1965-....), Personne interviewée ; Florence Bachelot (19..-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Robert Doisneau (1912-1994) , Photographe ; Henri Cartier-Bresson (1908-2004)
, Photographe ; Paul Strand (1890-1976), Photographe ; Saul Leiter (1923-2013), Photographe ; Véronique Ellena (1966-....), Photographe ; Dorothea Lange (1895-1965), Photographe ; Bruce Davidson (1933-....), Photographe ; Vivian Maier (1926-2009), Photographe ; Edouard Boubat (1923-1999), Photographe ; Sabine Weiss (1924-....), Photographe ; Brassaï (1899-1984), Photographe ; Josef Koudelka (1938-....), Photographe ; Sam Stourdzé (1973-....), Commissaire d'exposition
Editeur : Paris [France] : Maison CF Autre Editeur : Rome [Italie] : Villa Medicis Importance : 1 volume (127 pages) Présentation : illustrations Format : 26 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-96575-28-2 Prix : 39 € Langues : Français (fre) Catégories : Portrait (Photographie) -- 20e siècle , Portrait -- Dans l'art , Ville -- Dans la photographie Mots-clés : Photographie photographe portrait ville Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : L'exposition déploie un ensemble exceptionnel de près de 150 photographies couvrant un siècle d'histoire de l'image, dans l'intimité de la condition humaine. De Brassaï à Sabine Weiss et de Diane Arbus à Mitch Epstein, elle permet une lecture en creux de l'histoire de la photographie centrée sur l'Humain et sa relation à son environnement, où l'effervescence de la ville côtoie la poésie solitaire du portrait. Collection : 150 photographies de la collection Bachelot à la Villa Médicis, catalogue d'exposition, Académie de France à Rome, du 7 octobre 2022 au 15 janvier 2023 [texte imprimé] / Damien Bachelot (1959-), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Michel Poivert (1965-....), Personne interviewée ; Florence Bachelot (19..-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Robert Doisneau (1912-1994), Photographe ; Henri Cartier-Bresson (1908-2004)
, Photographe ; Paul Strand (1890-1976), Photographe ; Saul Leiter (1923-2013), Photographe ; Véronique Ellena (1966-....), Photographe ; Dorothea Lange (1895-1965), Photographe ; Bruce Davidson (1933-....), Photographe ; Vivian Maier (1926-2009), Photographe ; Edouard Boubat (1923-1999), Photographe ; Sabine Weiss (1924-....), Photographe ; Brassaï (1899-1984), Photographe ; Josef Koudelka (1938-....), Photographe ; Sam Stourdzé (1973-....), Commissaire d'exposition . - Paris (France) : Maison CF : Rome (Italie) : Villa Medicis, [s.d.] . - 1 volume (127 pages) : illustrations ; 26 cm.
ISBN : 979-10-96575-28-2 : 39 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Portrait (Photographie) -- 20e siècle , Portrait -- Dans l'art , Ville -- Dans la photographie Mots-clés : Photographie photographe portrait ville Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : L'exposition déploie un ensemble exceptionnel de près de 150 photographies couvrant un siècle d'histoire de l'image, dans l'intimité de la condition humaine. De Brassaï à Sabine Weiss et de Diane Arbus à Mitch Epstein, elle permet une lecture en creux de l'histoire de la photographie centrée sur l'Humain et sa relation à son environnement, où l'effervescence de la ville côtoie la poésie solitaire du portrait. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131247 U EXPO PHOTO 2022 Catalogue d'exposition Salle de consultation Photographie Exclu du prêt
Titre : Romain Urhausen : [exposition "Romain Urhausen en son temps ", 53e édition des Rencontres d'Arles, Arles, Espace Van Gogh, 2022] Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Urhausen, Auteur ; Paul Di Felice, Auteur ; Carolin Förster, Auteur Congrès : Lët'z Arles, Auteur Editeur : Paris [France] : Delpire & co Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (109 p.) Présentation : ill. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-95821-49-6 Prix : 42 EUR Note générale : Texte français et trad. anglaise à la suite
Exposition organisée dans le cadre des 53e Rencontres d'ArlesLangues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photogramme (photographie) , Photographie -- 21e siècle , Ville -- Dans l'art Mots-clés : photographie noir et blanc photographie subjective corps espace ironie quotidien rue ville industrie Luxembourg 21e siècle Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : Il se pourrait que l’année 2022 soit celle de la reconnaissance par le plus grand public de l’œuvre de l’artiste aux multiples talents Romain Urhausen (1930-2021), exposé à Arles et sujet d’une monographie publiée par Delpire & co. Son activité photographique se déploie essentiellement durant deux décennies (1950-1970), aussi bien du côté du portrait, de la street photography, que des expérimentations formelles. acques Prévert a préfacé son livre Les Halles, mais qui s’en souvient vraiment aujourd’hui ? Il nous faut des jalons, des repères, des ouvrages auxquels accrocher notre pensée. Telle est l’ambition de la monographie – elle manquait – que nous découvrons aujourd’hui. Il y a dans les photographies de Romain Urhausen, ancrées dans la réalité pour n’en pas manquer la part de surréalité ordinaire, une douce ironie. On le classe du côté du courant de la photographie subjective, qui est au fond le médium considéré comme instrument d’exploration de la psyché au contact de ce qui la fait trembler ou fascine. « La photographie subjective selon Steinert [qui fut le professeur à Sarrebruck de Romain Urhausen], rappelle Paul di Felice, se voulait une nouvelle esthétique photographique, une façon anticonformiste de regarder le monde, un langage marqué par le noir et blanc, des tirages très contrastés, des cadrages radicaux et parfois des situations surréalistes. » Attentif à la géométrisation des rapports entre les êtres et le monde, entre le corps et l’espace, le photographe luxembourgeois produit une photographie vivante, héritière de Brassaï et de Cartier-Bresson.Il observe comme son compatriote Yvon Lambert le monde de l’industrie sidérurgique, ses travailleurs, ses gerbes de feu, thématique articulant les deux parties du livre : le quotidien, la rue, la ville, et les recherches formelles (solarisations, luminogrammes, photogrammes…). Romain Urhausen ne cherche pas à documenter mais à produire une vision donnant accès aux points saillants d’une modernité bousculant toute stabilité. Les lettres sont de guingois, les couples titubent, l’ivresse fait chavirer les regards, les têtes de porc (image qu’on aurait pu trouver dans la revue Documents) hument la présence fantomatique de leur spectateur.La nuit remue, mais aussi la chevelure des belles dans la rue, les jambes aiguilles des prostituées, les visages des gamins habillés à l’anglaise. Il a plu, tout glisse, on retire ses chaussures, un mendiant joue de l’accordéon assis sur un trottoir, béquille étalée le long du caniveau.
L’ouvrage se termine par un autoportrait déformé. Explicité, étudié, décortiqué, Romain Urhausen reste pourtant une énigme, comme les plus grands artistes.Romain Urhausen : [exposition "Romain Urhausen en son temps ", 53e édition des Rencontres d'Arles, Arles, Espace Van Gogh, 2022] [texte imprimé] / Romain Urhausen, Auteur ; Paul Di Felice, Auteur ; Carolin Förster, Auteur / Lët'z Arles, Auteur . - Paris (13 rue de l’Abbaye, 75006, France) : Delpire & co, 2022 . - 1 vol. (109 p.) : ill. ; 28 cm.
ISBN : 979-10-95821-49-6 : 42 EUR
Texte français et trad. anglaise à la suite
Exposition organisée dans le cadre des 53e Rencontres d'Arles
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photogramme (photographie) , Photographie -- 21e siècle , Ville -- Dans l'art Mots-clés : photographie noir et blanc photographie subjective corps espace ironie quotidien rue ville industrie Luxembourg 21e siècle Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : Il se pourrait que l’année 2022 soit celle de la reconnaissance par le plus grand public de l’œuvre de l’artiste aux multiples talents Romain Urhausen (1930-2021), exposé à Arles et sujet d’une monographie publiée par Delpire & co. Son activité photographique se déploie essentiellement durant deux décennies (1950-1970), aussi bien du côté du portrait, de la street photography, que des expérimentations formelles. acques Prévert a préfacé son livre Les Halles, mais qui s’en souvient vraiment aujourd’hui ? Il nous faut des jalons, des repères, des ouvrages auxquels accrocher notre pensée. Telle est l’ambition de la monographie – elle manquait – que nous découvrons aujourd’hui. Il y a dans les photographies de Romain Urhausen, ancrées dans la réalité pour n’en pas manquer la part de surréalité ordinaire, une douce ironie. On le classe du côté du courant de la photographie subjective, qui est au fond le médium considéré comme instrument d’exploration de la psyché au contact de ce qui la fait trembler ou fascine. « La photographie subjective selon Steinert [qui fut le professeur à Sarrebruck de Romain Urhausen], rappelle Paul di Felice, se voulait une nouvelle esthétique photographique, une façon anticonformiste de regarder le monde, un langage marqué par le noir et blanc, des tirages très contrastés, des cadrages radicaux et parfois des situations surréalistes. » Attentif à la géométrisation des rapports entre les êtres et le monde, entre le corps et l’espace, le photographe luxembourgeois produit une photographie vivante, héritière de Brassaï et de Cartier-Bresson.Il observe comme son compatriote Yvon Lambert le monde de l’industrie sidérurgique, ses travailleurs, ses gerbes de feu, thématique articulant les deux parties du livre : le quotidien, la rue, la ville, et les recherches formelles (solarisations, luminogrammes, photogrammes…). Romain Urhausen ne cherche pas à documenter mais à produire une vision donnant accès aux points saillants d’une modernité bousculant toute stabilité. Les lettres sont de guingois, les couples titubent, l’ivresse fait chavirer les regards, les têtes de porc (image qu’on aurait pu trouver dans la revue Documents) hument la présence fantomatique de leur spectateur.La nuit remue, mais aussi la chevelure des belles dans la rue, les jambes aiguilles des prostituées, les visages des gamins habillés à l’anglaise. Il a plu, tout glisse, on retire ses chaussures, un mendiant joue de l’accordéon assis sur un trottoir, béquille étalée le long du caniveau.
L’ouvrage se termine par un autoportrait déformé. Explicité, étudié, décortiqué, Romain Urhausen reste pourtant une énigme, comme les plus grands artistes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131235 MONO URHA Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Arles : une cité rhodanienne sous l'ancien régime / Marie-Rose Bonnet / Paris [France] : L'Harmattan (2021)
Titre : Arles : une cité rhodanienne sous l'ancien régime : Aristocratie, culture et violence XVIe - XVIIe siècles Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Rose Bonnet, Auteur Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 2021 Importance : 169 p Présentation : couv ill en coul Format : 21,5 x 13,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-343-22798-6 Prix : 18 € Note générale : bibliographie p 163 Langues : Français (fre) Catégories : Arles (Bouches-du-Rhône ) -- Histoire Mots-clés : Arles aristocratie Histoire Provence Quiqueran de Beaujeu ville Rhône 16e siècle 17e siècle France Index. décimale : 940 Histoire générale de l'Europe. Europe de l'Ouest Résumé : Les Quiqueran de Beaujeu, famille aristocratique arlésienne d'Ancien Régime, ont occupé une place importante dans la ville d'Arles, fortement impliqués dans la société, alliés à la plupart des grandes familles provençales. Leur histoire recoupe bien souvent celle de la cité rhodanienne ou de la région, la Provence, dans laquelle ils étaient implantés depuis l'époque médiévale. Leur récit familial permet d'évoquer plusieurs éléments propres à cette histoire dans laquelle s'entremêlent le roman d'une ville, mais aussi, et plus spécialement d'un qui n'est pas spécifiquement arlésien, celui du duel. Ce livre témoigne ainsi, à travers des épisodes de la vie des Quiqueran de Beaujeu et celle d'autres protagonistes, d'une société dans laquelle se côtoyaient culture et violence dans une agroville aux multiples facettes. Arles : une cité rhodanienne sous l'ancien régime : Aristocratie, culture et violence XVIe - XVIIe siècles [texte imprimé] / Marie-Rose Bonnet, Auteur . - Paris (France) : L'Harmattan, 2021 . - 169 p : couv ill en coul ; 21,5 x 13,5 cm.
ISBN : 978-2-343-22798-6 : 18 €
bibliographie p 163
Langues : Français (fre)
Catégories : Arles (Bouches-du-Rhône ) -- Histoire Mots-clés : Arles aristocratie Histoire Provence Quiqueran de Beaujeu ville Rhône 16e siècle 17e siècle France Index. décimale : 940 Histoire générale de l'Europe. Europe de l'Ouest Résumé : Les Quiqueran de Beaujeu, famille aristocratique arlésienne d'Ancien Régime, ont occupé une place importante dans la ville d'Arles, fortement impliqués dans la société, alliés à la plupart des grandes familles provençales. Leur histoire recoupe bien souvent celle de la cité rhodanienne ou de la région, la Provence, dans laquelle ils étaient implantés depuis l'époque médiévale. Leur récit familial permet d'évoquer plusieurs éléments propres à cette histoire dans laquelle s'entremêlent le roman d'une ville, mais aussi, et plus spécialement d'un qui n'est pas spécifiquement arlésien, celui du duel. Ce livre témoigne ainsi, à travers des épisodes de la vie des Quiqueran de Beaujeu et celle d'autres protagonistes, d'une société dans laquelle se côtoyaient culture et violence dans une agroville aux multiples facettes. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131202 U ARLES BONN Monographie Salle de consultation Histoire Exclu du prêt
Titre : Huldufolk : le peuple invisible Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Eisenlohr (1974), Artiste ; Christophe Pons Editeur : Arles : Arnaud Bizalion éditeur Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (80 p.) Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36980-134-4 Prix : 28 EUR Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : Art contemporain -- Islande -- 21e siècle , Fantastique -- Dans l'art , Nature -- Dans la photographie , Paysage -- Dans l'art , Photographie -- 21e siècle , Urbanisme Mots-clés : photographie ville nature paysage légende invisible urbanisme elfe ethnologie archéologie géographie tradition 1980 Reykjavik Islande France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : En Islande, la force du territoire impose le respect, mêlé à ce sentiment étrange que ces paysages sont habités. Au fil des routes, aux détours des champs de lave et des falaises de basalte, s'égrènent des sites aux histoires troublantes, peuplés de trolls, d'elfes et d'huldufólk (« le peuple caché »). Mais il en est de même à Reykjavik, dans les villes-banlieues ou les villages reculés. Ça et là, des rochers de lave sont laissés intacts entre deux immeubles, à quelques mètres d'une villa ou encore au centre d'un îlot de résidences. La toponymie des rues ou des quartiers confirme la personnification de ces lieux : Álfhóll « la butte de l'Elfe », Enbui « l'ermite », Borgir « la Cité », la pierre Latur « le paresseux », Dvergastein « la pierre à nain »... Cette cohabitation étonnante au premier regard et qui prête à sourire illustre pourtant une double réalité : la modernité de la société islandaise et son urbanisme en plein développement depuis les années 80, et la prégnance de la tradition et des croyances millénaires. Michel Eisenlohr, photographe de la trace, de la lumière et du sensible, entreprend ici de relever un défi : photographier l'invisible... Inspiré par les contes et légendes, guidé par les recherches des ethnologues, géographes et archéologues, il nous offre une immersion dans ces lieux naturels ou urbains et nous rend compte par l'image de cet héritage immatériel. Un dialogue inédit entre modernité et croyances. Huldufolk : le peuple invisible [texte imprimé] / Michel Eisenlohr (1974), Artiste ; Christophe Pons . - Arles : Arnaud Bizalion éditeur, 2022 . - 1 vol. (80 p.) : couv ill en coul ; ill en coul ; 17 cm.
ISBN : 978-2-36980-134-4 : 28 EUR
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Catégories : Art contemporain -- Islande -- 21e siècle , Fantastique -- Dans l'art , Nature -- Dans la photographie , Paysage -- Dans l'art , Photographie -- 21e siècle , Urbanisme Mots-clés : photographie ville nature paysage légende invisible urbanisme elfe ethnologie archéologie géographie tradition 1980 Reykjavik Islande France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : En Islande, la force du territoire impose le respect, mêlé à ce sentiment étrange que ces paysages sont habités. Au fil des routes, aux détours des champs de lave et des falaises de basalte, s'égrènent des sites aux histoires troublantes, peuplés de trolls, d'elfes et d'huldufólk (« le peuple caché »). Mais il en est de même à Reykjavik, dans les villes-banlieues ou les villages reculés. Ça et là, des rochers de lave sont laissés intacts entre deux immeubles, à quelques mètres d'une villa ou encore au centre d'un îlot de résidences. La toponymie des rues ou des quartiers confirme la personnification de ces lieux : Álfhóll « la butte de l'Elfe », Enbui « l'ermite », Borgir « la Cité », la pierre Latur « le paresseux », Dvergastein « la pierre à nain »... Cette cohabitation étonnante au premier regard et qui prête à sourire illustre pourtant une double réalité : la modernité de la société islandaise et son urbanisme en plein développement depuis les années 80, et la prégnance de la tradition et des croyances millénaires. Michel Eisenlohr, photographe de la trace, de la lumière et du sensible, entreprend ici de relever un défi : photographier l'invisible... Inspiré par les contes et légendes, guidé par les recherches des ethnologues, géographes et archéologues, il nous offre une immersion dans ces lieux naturels ou urbains et nous rend compte par l'image de cet héritage immatériel. Un dialogue inédit entre modernité et croyances. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131241 MONO EISE Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Louis-Léopold Boilly, Chroniques parisiennes / Louis-Léopold Boilly / Paris [France] : Paris Musées (2022)
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