Résultat de la recherche
8 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'esthétique'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Derrière le rideau / Lausanne [Suisse] : Musée de l'Elysée (impr. 2012)
Titre : Derrière le rideau : l'esthétique Photomaton ; [exposition, Lausanne, Musée de l'Élysée, 17 février-20 mai 2012, Bruxelles, Botanique-Centre culturel de la communauté française, 28 juin-26 août 2012, Vienne, Kunst Haus Wien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013] Type de document : texte imprimé Auteurs : Clément Chéroux (1970-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sam Stourdzé (1973-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Anne Lacoste (1973-....), Collaborateur Editeur : Lausanne [Suisse] : Musée de l'Elysée Année de publication : impr. 2012 Autre Editeur : Arles : Éd. Photosynthèses Importance : 1 vol. (311 p.) Présentation : nombreuses ill. en noir et en coul., fac-sim., jaquette ill. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36398-002-1 Prix : 65 EUR Note générale : Contient des textes traduits de l'italien
En appendice : "J'avais déclenché un processus qui se développait tout seul" : entretien de Franco Vaccari avec Clément Chéroux et Giuliano Sergio, tenu à Modène le 30 juin 2011
Notes bibliogr.Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita) Catégories : Esthétique , Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Photographie d'identité , Portrait (Photographie) , Surréalisme (mouvement artistique) -- Photographie Mots-clés : photomaton portrait photographie Esthétique surréalisme 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 779.2 Collections et recueils de photographies sur le thème du corps humain (portraits) Résumé : Lorsque les premières cabines de photomaton furent installées à Paris en 1928, les surréalistes en firent un usage intensif et compulsif. En quelques minutes, et pour une somme modique, la machine leur offrait, dans le domaine du portrait, une expérience similaire à celle de l'écriture automatique. Depuis des générations d'artistes ont été fascinées par le principe du photomaton. De Salvador Dalì à Andy Warhol, en passant par Francis Bacon, Christian Boltanski, Arnulf Rainer, Thomas Ruff, Cindy Sherman, ou Pierre et Gilles, ils sont nombreux à s'être emparés du photomaton pour jouer avec leur identité, raconter des histoires, ou simplement faire des mondes. Derrière le rideau : l'esthétique Photomaton ; [exposition, Lausanne, Musée de l'Élysée, 17 février-20 mai 2012, Bruxelles, Botanique-Centre culturel de la communauté française, 28 juin-26 août 2012, Vienne, Kunst Haus Wien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013] [texte imprimé] / Clément Chéroux (1970-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sam Stourdzé (1973-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Anne Lacoste (1973-....), Collaborateur . - Lausanne (Suisse) : Musée de l'Elysée : Arles : Éd. Photosynthèses, impr. 2012 . - 1 vol. (311 p.) : nombreuses ill. en noir et en coul., fac-sim., jaquette ill. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-36398-002-1 : 65 EUR
Contient des textes traduits de l'italien
En appendice : "J'avais déclenché un processus qui se développait tout seul" : entretien de Franco Vaccari avec Clément Chéroux et Giuliano Sergio, tenu à Modène le 30 juin 2011
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita)
Catégories : Esthétique , Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Photographie d'identité , Portrait (Photographie) , Surréalisme (mouvement artistique) -- Photographie Mots-clés : photomaton portrait photographie Esthétique surréalisme 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 779.2 Collections et recueils de photographies sur le thème du corps humain (portraits) Résumé : Lorsque les premières cabines de photomaton furent installées à Paris en 1928, les surréalistes en firent un usage intensif et compulsif. En quelques minutes, et pour une somme modique, la machine leur offrait, dans le domaine du portrait, une expérience similaire à celle de l'écriture automatique. Depuis des générations d'artistes ont été fascinées par le principe du photomaton. De Salvador Dalì à Andy Warhol, en passant par Francis Bacon, Christian Boltanski, Arnulf Rainer, Thomas Ruff, Cindy Sherman, ou Pierre et Gilles, ils sont nombreux à s'être emparés du photomaton pour jouer avec leur identité, raconter des histoires, ou simplement faire des mondes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Conversations silencieuses / Olivier Schefer / Paris [France] : Arléa (DL 2019)
Titre : Conversations silencieuses : l'art, la beauté et le chagrin Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Schefer (1964-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Arléa Année de publication : DL 2019 Collection : La Rencontre (Paris. 2016), ISSN 2491-8261 Importance : 1 vol. (103 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36308-186-5 Prix : 17 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Esthétique Mots-clés : peinture partage conversation beauté esthétique poésie récit Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : Court essai d'une centaine de pages qui amène le lecteur à réfléchir, s’interroger, revoir certaines images de son enfance, se pencher sur son propre rapport au monde et à la beauté. Evocation de souvenirs liés à la découverte de la peinture depuis l’enfance. Un cheminement involontaire et inconscient qui a construit de façon chaotique dans la mémoire et l'esprit de l'auteur (comme hypothétiquement du lecteur) une relation personnelle à la peinture, à l’art. Conversations silencieuses : l'art, la beauté et le chagrin [texte imprimé] / Olivier Schefer (1964-....), Auteur . - Paris (France) : Arléa, DL 2019 . - 1 vol. (103 p.) ; 21 cm. - (La Rencontre (Paris. 2016), ISSN 2491-8261) .
ISBN : 978-2-36308-186-5 : 17 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Esthétique Mots-clés : peinture partage conversation beauté esthétique poésie récit Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : Court essai d'une centaine de pages qui amène le lecteur à réfléchir, s’interroger, revoir certaines images de son enfance, se pencher sur son propre rapport au monde et à la beauté. Evocation de souvenirs liés à la découverte de la peinture depuis l’enfance. Un cheminement involontaire et inconscient qui a construit de façon chaotique dans la mémoire et l'esprit de l'auteur (comme hypothétiquement du lecteur) une relation personnelle à la peinture, à l’art. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 130900 U 701 SCHE Monographie Salle de consultation Beaux-arts Exclu du prêt L'esthétique des Trente glorieuse / Gwenaële Rot / Trouville-sur-Mer [France] : Librairie des musées (2020)
Titre : L'esthétique des Trente glorieuse : de la reconstruction à la croissance industrielle ; [actes du colloque de Cerisy-la-Salle, juin 2019] Type de document : texte imprimé Auteurs : Gwenaële Rot (1969-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Vatin (1957-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Trouville-sur-Mer [France] : Librairie des musées Année de publication : 2020 Importance : 1 vol. (295 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 33 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35404-089-5 Prix : 45 EUR Note générale : Table des illustartions p 279, Bibliogr. p. 285-292. Index, p 293 Langues : Français (fre) Catégories : Architecture -- 20e siècle , Art -- Sociologie , Culture -- Sociologie Mots-clés : sociologie art architecture usine travail démocratisation 1945-1975 trente glorieuses esthétique reconstruction croissance industrie économie Index. décimale : 745.409 Études biographiques, géographiques, historiques en relation avec l'art et le design industriels Résumé : On considère avec nostalgie les Trente Glorieuses comme si, dans les années 1945-1975, avait régné l'abondance économique, alors qu'il fallait d'abord reconstruire un pays en ruine, mais on dénigre son bilan idéologique et culturel, dominé par une croyance illusoire au progrès. Pollution, urbanisme sans âme, matières plastiques imputrescibles, tels seraient les seuls legs de ce temps d'inconscience. Aussi, l'architecture et l'art monumental des Trente Glorieuses, encore mal-aimées, ont subi beaucoup de destructions et commencent à peine à être patrimonialisées.
Or, comme le montrent les études réunies ici, en dépit de l'urgence de la reconstruction, on a accordé à cette époque une grande importance aux questions esthétiques. On faisait confiance aux nouveaux moyens techniques pour faire du beau moins cher à destination du plus grand nombre.
Esthétique fonctionnelle et démocratisation artistique sont étroitement liées. On comprend dès lors le rôle central de l'industrie dans les représentations de cette époque. Contre l'opposition romantique du beau et de l'utile, il fallait réinstaller le monde industriel dans les valeurs humaines. Les usines, aussi, devaient être belles comme fonctionnelles et constituer un objet d'intérêt pour l'art. La démocratisation du beau exigeait qu'il s'impose dans les lieux de travail.
Inversement, l'expérience industrielle de la simplicité, de la cohérence, pouvait nourrir l'inspiration artistique.
Réunissant vingt-quatre spécialistes qui croisent leurs multiples terrains, cet ouvrage vise, non à défendre l'esthétique des Trente Glorieuses, mais à la restituer dans sa complexité. Il invite le lecteur à regarder un peu différemment un passé trop proche pour qu'on puisse encore pleinement l'estimer.L'esthétique des Trente glorieuse : de la reconstruction à la croissance industrielle ; [actes du colloque de Cerisy-la-Salle, juin 2019] [texte imprimé] / Gwenaële Rot (1969-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Vatin (1957-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Trouville-sur-Mer (14360, France) : Librairie des musées, 2020 . - 1 vol. (295 p.) : ill. en coul. ; 33 cm.
ISBN : 978-2-35404-089-5 : 45 EUR
Table des illustartions p 279, Bibliogr. p. 285-292. Index, p 293
Langues : Français (fre)
Catégories : Architecture -- 20e siècle , Art -- Sociologie , Culture -- Sociologie Mots-clés : sociologie art architecture usine travail démocratisation 1945-1975 trente glorieuses esthétique reconstruction croissance industrie économie Index. décimale : 745.409 Études biographiques, géographiques, historiques en relation avec l'art et le design industriels Résumé : On considère avec nostalgie les Trente Glorieuses comme si, dans les années 1945-1975, avait régné l'abondance économique, alors qu'il fallait d'abord reconstruire un pays en ruine, mais on dénigre son bilan idéologique et culturel, dominé par une croyance illusoire au progrès. Pollution, urbanisme sans âme, matières plastiques imputrescibles, tels seraient les seuls legs de ce temps d'inconscience. Aussi, l'architecture et l'art monumental des Trente Glorieuses, encore mal-aimées, ont subi beaucoup de destructions et commencent à peine à être patrimonialisées.
Or, comme le montrent les études réunies ici, en dépit de l'urgence de la reconstruction, on a accordé à cette époque une grande importance aux questions esthétiques. On faisait confiance aux nouveaux moyens techniques pour faire du beau moins cher à destination du plus grand nombre.
Esthétique fonctionnelle et démocratisation artistique sont étroitement liées. On comprend dès lors le rôle central de l'industrie dans les représentations de cette époque. Contre l'opposition romantique du beau et de l'utile, il fallait réinstaller le monde industriel dans les valeurs humaines. Les usines, aussi, devaient être belles comme fonctionnelles et constituer un objet d'intérêt pour l'art. La démocratisation du beau exigeait qu'il s'impose dans les lieux de travail.
Inversement, l'expérience industrielle de la simplicité, de la cohérence, pouvait nourrir l'inspiration artistique.
Réunissant vingt-quatre spécialistes qui croisent leurs multiples terrains, cet ouvrage vise, non à défendre l'esthétique des Trente Glorieuses, mais à la restituer dans sa complexité. Il invite le lecteur à regarder un peu différemment un passé trop proche pour qu'on puisse encore pleinement l'estimer.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131119 U 725.4 ROT Monographie Salle de consultation Architecture et urbanisme Exclu du prêt Faits d'affects / Georges Didi-Huberman / Paris [France] : Éditions de Minuit (2023)
Titre : Faits d'affects : Brouillards de peines et de désirs Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman (1953-....) Editeur : Paris [France] : Éditions de Minuit Année de publication : 2023 Collection : Paradoxe Importance : 1 vol. (544 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-4815-9 Prix : 27 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Anthropologie , Corps humain , Poésie et arts plastiques , Psychanalyse et art Mots-clés : Anthropologie phénoménologie psychanalyse esthétique philosophie poésie corps visage main affect émotion passion France 21e siècle Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : Affects, émotions ou passions forment quelque chose comme nos indéfectibles milieux de vie : des atmosphères en mouvement. C'est l'air que nous respirons, que nous traversons, qui nous traverse de ses turbulences. Ainsi marchons-nous dans l'affect, de jour comme de nuit. L'aube même de la littérature européenne ne fut d'abord que parole donnée à l'affect :
C'est quand Homère commença l'Iliade sur la nécessité de chanter une émotion de colère. On y voyait aussi Achille, accablé par la mort de son ami, pris dans un « noir nuage de douleur » : s'allongeant alors dans la cendre et la poussière, comme pour se fondre dans le brouillard de peine qui venait juste de l'envahir.
Ce livre est une traversée ou, plutôt, un vagabondage dans la multiplicité des « faits d'affects ». Dans leurs théories, pour lesquelles il aura fallu convoquer de l'anthropologie et de la phénoménologie, de la psychanalyse et de l'esthétique... Il y fallait aussi des images (de Caravage ou Friedrich à Rodin ou Lucio Fontana) puisque les affects s'y « précipitent » souvent. Non moins que des poèmes (de Novalis ou Leopardi à Marina Tsvétaïeva ou Henri Michaux) qui savent en rephraser l'intensité, et des chroniques (de Saint-Simon ou Marcel Proust à Clarice Lispector) qui savent en raconter le devenir. Enfin il y fallait des gestes puisque nos peines et nos désirs s'expriment sans fin dans nos corps, nos visages ou nos mains par exemple.
Affects, émotions, passions : forces ou faiblesses ? Spinoza, Nietzsche et Freud - qui osa écrire que « l'état émotif est toujours justifié » - en ont établi la puissance en dépit de l'impouvoir même où nous nous trouvons lorsque nous sommes émus. Mais de quel genre de puissance s'agit-il ? Comment se déploie-t-elle ? Où situer sa fécondité ? Quelles transformations produit-elle dans l'économie de nos sens (sensibilité) comme dans l'organisation même du sens.
Philosophe, historien des arts, penseur monumental à la langue subtile et hypnotisante, autant qu’exigeante… Chaque livre de lui, c’est une descente aux confins d’un labyrinthe d’idées qui se croisent, font sens, amènent à d’autres choses, plus belles et latentes dans nos consciences.
Sa culture foisonnante rappelle parfois celle d’Umberto Eco, quand son écriture de poussière ramène à Walter Benjamin, Beckett et Aby Warburg qu’il aime à citer.
Toujours dans le renouveau, il semble ici converser avec l’anthropologie et Descola.
Faits d'affects : Brouillards de peines et de désirs [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman (1953-....) . - Paris (France) : Éditions de Minuit, 2023 . - 1 vol. (544 p.) ; 22 cm. - (Paradoxe) .
ISBN : 978-2-7073-4815-9 : 27 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Anthropologie , Corps humain , Poésie et arts plastiques , Psychanalyse et art Mots-clés : Anthropologie phénoménologie psychanalyse esthétique philosophie poésie corps visage main affect émotion passion France 21e siècle Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : Affects, émotions ou passions forment quelque chose comme nos indéfectibles milieux de vie : des atmosphères en mouvement. C'est l'air que nous respirons, que nous traversons, qui nous traverse de ses turbulences. Ainsi marchons-nous dans l'affect, de jour comme de nuit. L'aube même de la littérature européenne ne fut d'abord que parole donnée à l'affect :
C'est quand Homère commença l'Iliade sur la nécessité de chanter une émotion de colère. On y voyait aussi Achille, accablé par la mort de son ami, pris dans un « noir nuage de douleur » : s'allongeant alors dans la cendre et la poussière, comme pour se fondre dans le brouillard de peine qui venait juste de l'envahir.
Ce livre est une traversée ou, plutôt, un vagabondage dans la multiplicité des « faits d'affects ». Dans leurs théories, pour lesquelles il aura fallu convoquer de l'anthropologie et de la phénoménologie, de la psychanalyse et de l'esthétique... Il y fallait aussi des images (de Caravage ou Friedrich à Rodin ou Lucio Fontana) puisque les affects s'y « précipitent » souvent. Non moins que des poèmes (de Novalis ou Leopardi à Marina Tsvétaïeva ou Henri Michaux) qui savent en rephraser l'intensité, et des chroniques (de Saint-Simon ou Marcel Proust à Clarice Lispector) qui savent en raconter le devenir. Enfin il y fallait des gestes puisque nos peines et nos désirs s'expriment sans fin dans nos corps, nos visages ou nos mains par exemple.
Affects, émotions, passions : forces ou faiblesses ? Spinoza, Nietzsche et Freud - qui osa écrire que « l'état émotif est toujours justifié » - en ont établi la puissance en dépit de l'impouvoir même où nous nous trouvons lorsque nous sommes émus. Mais de quel genre de puissance s'agit-il ? Comment se déploie-t-elle ? Où situer sa fécondité ? Quelles transformations produit-elle dans l'économie de nos sens (sensibilité) comme dans l'organisation même du sens.
Philosophe, historien des arts, penseur monumental à la langue subtile et hypnotisante, autant qu’exigeante… Chaque livre de lui, c’est une descente aux confins d’un labyrinthe d’idées qui se croisent, font sens, amènent à d’autres choses, plus belles et latentes dans nos consciences.
Sa culture foisonnante rappelle parfois celle d’Umberto Eco, quand son écriture de poussière ramène à Walter Benjamin, Beckett et Aby Warburg qu’il aime à citer.
Toujours dans le renouveau, il semble ici converser avec l’anthropologie et Descola.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131272 U 701 DIDI Monographie Salle de consultation Littérature Exclu du prêt La vraie image / Hans Belting / [Paris] : Gallimard (impr. 2007)
Titre : La vraie image : Croire aux images ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Hans Belting (1935-....), Auteur ; Jean Bernard Torrent (1961-....), Traducteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : impr. 2007 Collection : Le Temps des images, ISSN 1272-0119 Importance : 1 vol. (281 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-078160-7 Prix : 35 EUR Note générale : Notes bibliogr. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : Art -- Théorie et critique , Philosophie et art Mots-clés : image philosophie esthétique religion tradition histoire des religions histoire de l'art Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : Qu'est-ce qu'une vraie image ? Poursuivant son étude de la signification de l'image dans la culture occidentale, Hans Belting interroge ici notre besoin fondamental d'images vraies et authentiques, susceptibles de rendre compte et de reproduire la réalité telle qu'elle est. Il montre que notre compréhension de l'image est marquée, aujourd'hui encore, par une survivance de notions religieuses : la foi chrétienne a joué en Occident un rôle formateur de l'identité et de la conscience et nous avons intériorisé les tentatives sans cesse recommencées d'une définition de l'image qui se sont accomplies dans son orbe.
Plutôt que de dérouler une histoire linéaire, l'auteur procède ici par sondages, en pointant son attention sur deux moments clés, deux accélérations critiques où la culture européenne franchit à chaque fois un seuil : la fin de l'Antiquité d'abord, où la question de l'image est l'enjeu de débats philosophiques autour de la double nature du Christ ; la période de la Réforme ensuite, où la traduction de la Bible en langue vulgaire et sa diffusion par l'imprimerie entraînent comme une dévalorisation ontologique de l'image, contrainte de se replier désormais du côté de l'art et des théories esthétiques.
La tradition religieuse des images, avec la part irréductible faite à la croyance, est donc bien davantage qu'un simple prélude naïf de leur complexité moderne. Dans La vraie image, Hans Belting tend magistralement l'arc qui relie l'aube des Temps nouveaux à notre époque contemporaine, en tissant des rapports inaperçus entre histoire de la religion, des images et des idées. À ce titre, le livre apparaît comme l'indispensable complément à ses deux précédents ouvrages, Image et culte (Cerf, 1998) et Pour une anthropologie des imagesLa vraie image : Croire aux images ? [texte imprimé] / Hans Belting (1935-....), Auteur ; Jean Bernard Torrent (1961-....), Traducteur . - [Paris] : Gallimard, impr. 2007 . - 1 vol. (281 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Le Temps des images, ISSN 1272-0119) .
ISBN : 978-2-07-078160-7 : 35 EUR
Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : Art -- Théorie et critique , Philosophie et art Mots-clés : image philosophie esthétique religion tradition histoire des religions histoire de l'art Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : Qu'est-ce qu'une vraie image ? Poursuivant son étude de la signification de l'image dans la culture occidentale, Hans Belting interroge ici notre besoin fondamental d'images vraies et authentiques, susceptibles de rendre compte et de reproduire la réalité telle qu'elle est. Il montre que notre compréhension de l'image est marquée, aujourd'hui encore, par une survivance de notions religieuses : la foi chrétienne a joué en Occident un rôle formateur de l'identité et de la conscience et nous avons intériorisé les tentatives sans cesse recommencées d'une définition de l'image qui se sont accomplies dans son orbe.
Plutôt que de dérouler une histoire linéaire, l'auteur procède ici par sondages, en pointant son attention sur deux moments clés, deux accélérations critiques où la culture européenne franchit à chaque fois un seuil : la fin de l'Antiquité d'abord, où la question de l'image est l'enjeu de débats philosophiques autour de la double nature du Christ ; la période de la Réforme ensuite, où la traduction de la Bible en langue vulgaire et sa diffusion par l'imprimerie entraînent comme une dévalorisation ontologique de l'image, contrainte de se replier désormais du côté de l'art et des théories esthétiques.
La tradition religieuse des images, avec la part irréductible faite à la croyance, est donc bien davantage qu'un simple prélude naïf de leur complexité moderne. Dans La vraie image, Hans Belting tend magistralement l'arc qui relie l'aube des Temps nouveaux à notre époque contemporaine, en tissant des rapports inaperçus entre histoire de la religion, des images et des idées. À ce titre, le livre apparaît comme l'indispensable complément à ses deux précédents ouvrages, Image et culte (Cerf, 1998) et Pour une anthropologie des imagesExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131131 U SACR BELT Monographie Salle de consultation Philosophie Exclu du prêt L'Extrême raison de peindre / James Guitet / Paris [France] : Lettres modernes (1985)
PermalinkLe Je-ne-sais-quoi et le Presque-rien / Vladimir Jankélévitch / Paris [France] : Seuil (1980)
PermalinkQuelque part dans l'inachevé / Vladimir Jankélévitch / Paris [France] : Gallimard (1978)
Permalink