Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Le Havre'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Du merveilleux en architecture au conte photographique / Philippe de Gobert / Octopus éditions (2021)
Titre : Du merveilleux en architecture au conte photographique : Philippe de Gobert : exposition, Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, du 29 mai au 7 novembre 2021 Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe de Gobert, Photographe ; Annette Haudiquet, Commissaire d'exposition ; MuMa - Musée d'art moderne André Malraux (Le Havre), Auteur Editeur : Octopus éditions Année de publication : 2021 Autre Editeur : Le Havre [France] : MuMa-Musée d'art moderne André Malraux Importance : 168 p Présentation : couv ill en coul ; ill en coul Format : 29 x 21,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-900314-26-5 Langues : Français (fre) Catégories : Architecture -- 20e siècle , Guerre mondiale (1939-1945) -- Art et guerre , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie photographe guerre 1939-1945 maquette miniature architecture reconstruction ville urbanisme poésie Le Havre France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : Depuis le classement Unesco du centre-ville du Havre en 2005, le MuMa a accueilli une vingtaine d’artistes photographes et vidéastes, français et étrangers, pour susciter et accompagner le changement du regard porté sur cette ville reconstruite. Dans cette continuité, le musée invite cette année Philippe De Gobert (1946, Bruxelles) pour une grande exposition monographique qui nous plonge dans l’univers singulier et poétique d’un artiste féru d’architecture moderniste. Le parcours mêle ses propres photographies et maquettes à des documents d’archives qui révèlent ses références et inspirations. Du Havre devenu une véritable icône de la Reconstruction, Philippe De Gobert esquisse un autre visage, une sorte de double troublant, et réinvente l’histoire de sa renaissance. Philippe De Gobert a découvert Le Havre au printemps 2018. Il s’y est d’abord longuement promené, réunissant de la documentation sur le travail mené par l’architecte Auguste Perret et son équipe pour reconstruire la ville. De retour dans son atelier bruxellois, et selon son mode opératoire habituel, il s’est mis à fabriquer des maquettes d’immeubles inspirés de ceux que l’on voit au Havre. De Gobert construit des maquettes de bâtiments, précise-t-il, « pour en comprendre le fonctionnement ». Pour autant, dans la série havraise, la maquette n’est pas une finalité, mais une étape dans le processus d’élaboration de l’œuvre : la photographie. L’artiste photographie en effet ses maquettes, parfois de l’intérieur, puis inversant le mouvement qui l’avait conduit à mettre le monde en miniature, il exécute de grands tirages pour retrouver une échelle propre au paysage, intégrant des fragments empruntés ou factices de la réalité. Ce corpus, essentiellement constitué de vues d’intérieurs ou de paysages de front de mer, évoque un Havre imaginaire, saisi dans le silence et la pureté de sa naissance, vide, même si l’on distingue, ici et là , les signes discrets d’une présence humaine. Du merveilleux en architecture au conte photographique : Philippe de Gobert : exposition, Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, du 29 mai au 7 novembre 2021 [texte imprimé] / Philippe de Gobert, Photographe ; Annette Haudiquet, Commissaire d'exposition ; MuMa - Musée d'art moderne André Malraux (Le Havre), Auteur . - [S.l.] : Octopus éditions : Le Havre (France) : MuMa-Musée d'art moderne André Malraux, 2021 . - 168 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 29 x 21,5 cm.
ISBN : 978-2-900314-26-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Architecture -- 20e siècle , Guerre mondiale (1939-1945) -- Art et guerre , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie photographe guerre 1939-1945 maquette miniature architecture reconstruction ville urbanisme poésie Le Havre France 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : Depuis le classement Unesco du centre-ville du Havre en 2005, le MuMa a accueilli une vingtaine d’artistes photographes et vidéastes, français et étrangers, pour susciter et accompagner le changement du regard porté sur cette ville reconstruite. Dans cette continuité, le musée invite cette année Philippe De Gobert (1946, Bruxelles) pour une grande exposition monographique qui nous plonge dans l’univers singulier et poétique d’un artiste féru d’architecture moderniste. Le parcours mêle ses propres photographies et maquettes à des documents d’archives qui révèlent ses références et inspirations. Du Havre devenu une véritable icône de la Reconstruction, Philippe De Gobert esquisse un autre visage, une sorte de double troublant, et réinvente l’histoire de sa renaissance. Philippe De Gobert a découvert Le Havre au printemps 2018. Il s’y est d’abord longuement promené, réunissant de la documentation sur le travail mené par l’architecte Auguste Perret et son équipe pour reconstruire la ville. De retour dans son atelier bruxellois, et selon son mode opératoire habituel, il s’est mis à fabriquer des maquettes d’immeubles inspirés de ceux que l’on voit au Havre. De Gobert construit des maquettes de bâtiments, précise-t-il, « pour en comprendre le fonctionnement ». Pour autant, dans la série havraise, la maquette n’est pas une finalité, mais une étape dans le processus d’élaboration de l’œuvre : la photographie. L’artiste photographie en effet ses maquettes, parfois de l’intérieur, puis inversant le mouvement qui l’avait conduit à mettre le monde en miniature, il exécute de grands tirages pour retrouver une échelle propre au paysage, intégrant des fragments empruntés ou factices de la réalité. Ce corpus, essentiellement constitué de vues d’intérieurs ou de paysages de front de mer, évoque un Havre imaginaire, saisi dans le silence et la pureté de sa naissance, vide, même si l’on distingue, ici et là , les signes discrets d’une présence humaine. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131421 MONO GOBE Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Reynold Arnould une poétique de l'industrie / Gwenaeu0308le Rot / Presses universitaires de Nanterre (2019)
Titre : Reynold Arnould une poétique de l'industrie : suivi de La jeunesse d'un peintre Type de document : texte imprimé Auteurs : Gwenaeu0308le Rot (1969-....), Auteur ; Vatin (1957-....), Auteur ; Reynold Arnould (1919-1980), Artiste Editeur : Presses universitaires de Nanterre Année de publication : 2019 Importance : 1 vol. (420 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., portr., couv. ill. en coul. Format : 27 x 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84016-341-1 Prix : 45 EUR Langues : Français (fre) Catégories : industrie , Peinture française -- 20e siècle Mots-clés : peinture France Le Havre automobile industrie histoire sociale 20e siècle pris de Rome modernité monographie Index. décimale : 759.4 Histoire de la peinture française (peintres français) Résumé : Tubulures de l’industrie chimique et grands pylônes électriques, pales de turbines et torchères pétrolières…
La grande industrie moderne respire une beauté particulière, inquiétante et fascinante. Peu de peintres pourtant s’en sont saisis. Aucun, en tous cas, autant que Reynold Arnould (1919-1980), qui a transfiguré cette industrie dans des toiles d’apparence abstraite à l’occasion d’une grande exposition au musée des Arts décoratifs en 1959.
Artiste typique de la génération d’après-guerre, Reynold Arnould a dirigé les musées du Havre de 1952 à 1965 et inauguré en 1961 dans cette ville le premier musée de conception moderne en France. André Malraux l’appela en 1965 à la direction des Galeries nationales du Grand-Palais. Mais cette brillante carrière de conservateur ne doit pas occulter son oeuvre picturale, inlassablement poursuivie pendant cinquante ans, dont les toiles industrielles sont une composante majeure.
La première partie de cet ouvrage décline le thème de l’industrie chez Reynold Arnould, depuis ses portraits d’automobiles de 1955 jusqu’à ses oeuvres murales des années 1960-1970. La seconde partie éclaire cette peinture par le récit de la jeunesse de cet artiste, de sa rencontre avec le peintre et écrivain mondain Jacques-Émile Blanche en 1934 à sa nomination au Havre en 1952. À travers ce cas singulier : jeune prodige, premier Prix de Rome à vingt ans, professeur de beaux-arts dans une université du Texas de 1949 à 1952, c’est aussi un pan d’histoire sociale de la peinture du XXe siècle qui est ainsi mis à jour.
Note de contenu : bibliographie, p 389 ; table des illustrations, p 401 ; index des noms de personnes, p 411 Reynold Arnould une poétique de l'industrie : suivi de La jeunesse d'un peintre [texte imprimé] / Gwenaeu0308le Rot (1969-....), Auteur ; Vatin (1957-....), Auteur ; Reynold Arnould (1919-1980), Artiste . - [S.l.] : Presses universitaires de Nanterre, 2019 . - 1 vol. (420 p.) : ill. en noir et en coul., portr., couv. ill. en coul. ; 27 x 29 cm.
ISBN : 978-2-84016-341-1 : 45 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : industrie , Peinture française -- 20e siècle Mots-clés : peinture France Le Havre automobile industrie histoire sociale 20e siècle pris de Rome modernité monographie Index. décimale : 759.4 Histoire de la peinture française (peintres français) Résumé : Tubulures de l’industrie chimique et grands pylônes électriques, pales de turbines et torchères pétrolières…
La grande industrie moderne respire une beauté particulière, inquiétante et fascinante. Peu de peintres pourtant s’en sont saisis. Aucun, en tous cas, autant que Reynold Arnould (1919-1980), qui a transfiguré cette industrie dans des toiles d’apparence abstraite à l’occasion d’une grande exposition au musée des Arts décoratifs en 1959.
Artiste typique de la génération d’après-guerre, Reynold Arnould a dirigé les musées du Havre de 1952 à 1965 et inauguré en 1961 dans cette ville le premier musée de conception moderne en France. André Malraux l’appela en 1965 à la direction des Galeries nationales du Grand-Palais. Mais cette brillante carrière de conservateur ne doit pas occulter son oeuvre picturale, inlassablement poursuivie pendant cinquante ans, dont les toiles industrielles sont une composante majeure.
La première partie de cet ouvrage décline le thème de l’industrie chez Reynold Arnould, depuis ses portraits d’automobiles de 1955 jusqu’à ses oeuvres murales des années 1960-1970. La seconde partie éclaire cette peinture par le récit de la jeunesse de cet artiste, de sa rencontre avec le peintre et écrivain mondain Jacques-Émile Blanche en 1934 à sa nomination au Havre en 1952. À travers ce cas singulier : jeune prodige, premier Prix de Rome à vingt ans, professeur de beaux-arts dans une université du Texas de 1949 à 1952, c’est aussi un pan d’histoire sociale de la peinture du XXe siècle qui est ainsi mis à jour.
Note de contenu : bibliographie, p 389 ; table des illustrations, p 401 ; index des noms de personnes, p 411 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131139 MONO ARNO Monographie Salle de consultation Beaux-arts Exclu du prêt