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Titre : Le noir et le blanc aux marches du Grand-Palais Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Coen, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 98 Langues : Français (fre) Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photographie Mots-clés : noir et blanc
in Fisheye > n° 41 (mars-avril 2020) . - p. 98[article] Le noir et le blanc aux marches du Grand-Palais [texte imprimé] / Carole Coen, Auteur . - 2020 . - p. 98.
Langues : Français (fre)
in Fisheye > n° 41 (mars-avril 2020) . - p. 98
Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photographie Mots-clés : noir et blanc Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Noir & blanc / [Paris] : BnF éditions (2020)
Titre : Noir & blanc : une esthétique de la photographie ; collection de la Bibliothèque nationale de France ; [exposition, Paris, Grand Palais, 8 avril-6 juillet 2020] Type de document : texte imprimé Auteurs : Établissement public de la Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Élysées, Auteur ; Bibliothèque nationale de France (Paris, France), Auteur Editeur : [Paris] : BnF éditions Année de publication : 2020 Importance : 1 vol. (263 p.) Présentation : ill. Format : 25 x 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7118-7522-1 Prix : 45 EUR Note générale : Exposition reportée en raison de la pandémie de Covid-19
IndexLangues : Français (fre) Catégories : Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : photographie noir et blanc contraste ombres lumières nuancier technique photographique Index. décimale : 771 Appareils, équipement, matériels Résumé : Une sélection de 200 photographies en noir et blanc emblématiques des collections de la BnF, organisée en thèmes : contrastes, ombres et lumières, nuancier, ... Ce parcours est mis en contexte par des essais traitant de l'histoire, de la technique, etc. Noir & blanc : une esthétique de la photographie ; collection de la Bibliothèque nationale de France ; [exposition, Paris, Grand Palais, 8 avril-6 juillet 2020] [texte imprimé] / Établissement public de la Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Élysées, Auteur ; Bibliothèque nationale de France (Paris, France), Auteur . - [Paris] : BnF éditions, 2020 . - 1 vol. (263 p.) : ill. ; 25 x 27 cm.
ISBN : 978-2-7118-7522-1 : 45 EUR
Exposition reportée en raison de la pandémie de Covid-19
Index
Langues : Français (fre)
Catégories : Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle Mots-clés : photographie noir et blanc contraste ombres lumières nuancier technique photographique Index. décimale : 771 Appareils, équipement, matériels Résumé : Une sélection de 200 photographies en noir et blanc emblématiques des collections de la BnF, organisée en thèmes : contrastes, ombres et lumières, nuancier, ... Ce parcours est mis en contexte par des essais traitant de l'histoire, de la technique, etc. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131059 U EXPO PHOTO 2020 Catalogue d'exposition Salle de consultation Photographie Exclu du prêt
Titre : Romain Urhausen : [exposition "Romain Urhausen en son temps ", 53e édition des Rencontres d'Arles, Arles, Espace Van Gogh, 2022] Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Urhausen, Auteur ; Paul Di Felice, Auteur ; Carolin Förster, Auteur Congrès : Lët'z Arles, Auteur Editeur : Paris [France] : Delpire & co Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (109 p.) Présentation : ill. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-95821-49-6 Prix : 42 EUR Note générale : Texte français et trad. anglaise à la suite
Exposition organisée dans le cadre des 53e Rencontres d'ArlesLangues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photogramme (photographie) , Photographie -- 21e siècle , Ville -- Dans l'art Mots-clés : photographie noir et blanc photographie subjective corps espace ironie quotidien rue ville industrie Luxembourg 21e siècle Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : Il se pourrait que l’année 2022 soit celle de la reconnaissance par le plus grand public de l’œuvre de l’artiste aux multiples talents Romain Urhausen (1930-2021), exposé à Arles et sujet d’une monographie publiée par Delpire & co. Son activité photographique se déploie essentiellement durant deux décennies (1950-1970), aussi bien du côté du portrait, de la street photography, que des expérimentations formelles. acques Prévert a préfacé son livre Les Halles, mais qui s’en souvient vraiment aujourd’hui ? Il nous faut des jalons, des repères, des ouvrages auxquels accrocher notre pensée. Telle est l’ambition de la monographie – elle manquait – que nous découvrons aujourd’hui. Il y a dans les photographies de Romain Urhausen, ancrées dans la réalité pour n’en pas manquer la part de surréalité ordinaire, une douce ironie. On le classe du côté du courant de la photographie subjective, qui est au fond le médium considéré comme instrument d’exploration de la psyché au contact de ce qui la fait trembler ou fascine. « La photographie subjective selon Steinert [qui fut le professeur à Sarrebruck de Romain Urhausen], rappelle Paul di Felice, se voulait une nouvelle esthétique photographique, une façon anticonformiste de regarder le monde, un langage marqué par le noir et blanc, des tirages très contrastés, des cadrages radicaux et parfois des situations surréalistes. » Attentif à la géométrisation des rapports entre les êtres et le monde, entre le corps et l’espace, le photographe luxembourgeois produit une photographie vivante, héritière de Brassaï et de Cartier-Bresson.Il observe comme son compatriote Yvon Lambert le monde de l’industrie sidérurgique, ses travailleurs, ses gerbes de feu, thématique articulant les deux parties du livre : le quotidien, la rue, la ville, et les recherches formelles (solarisations, luminogrammes, photogrammes…). Romain Urhausen ne cherche pas à documenter mais à produire une vision donnant accès aux points saillants d’une modernité bousculant toute stabilité. Les lettres sont de guingois, les couples titubent, l’ivresse fait chavirer les regards, les têtes de porc (image qu’on aurait pu trouver dans la revue Documents) hument la présence fantomatique de leur spectateur.La nuit remue, mais aussi la chevelure des belles dans la rue, les jambes aiguilles des prostituées, les visages des gamins habillés à l’anglaise. Il a plu, tout glisse, on retire ses chaussures, un mendiant joue de l’accordéon assis sur un trottoir, béquille étalée le long du caniveau.
L’ouvrage se termine par un autoportrait déformé. Explicité, étudié, décortiqué, Romain Urhausen reste pourtant une énigme, comme les plus grands artistes.Romain Urhausen : [exposition "Romain Urhausen en son temps ", 53e édition des Rencontres d'Arles, Arles, Espace Van Gogh, 2022] [texte imprimé] / Romain Urhausen, Auteur ; Paul Di Felice, Auteur ; Carolin Förster, Auteur / Lët'z Arles, Auteur . - Paris (13 rue de l’Abbaye, 75006, France) : Delpire & co, 2022 . - 1 vol. (109 p.) : ill. ; 28 cm.
ISBN : 979-10-95821-49-6 : 42 EUR
Texte français et trad. anglaise à la suite
Exposition organisée dans le cadre des 53e Rencontres d'Arles
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photogramme (photographie) , Photographie -- 21e siècle , Ville -- Dans l'art Mots-clés : photographie noir et blanc photographie subjective corps espace ironie quotidien rue ville industrie Luxembourg 21e siècle Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : Il se pourrait que l’année 2022 soit celle de la reconnaissance par le plus grand public de l’œuvre de l’artiste aux multiples talents Romain Urhausen (1930-2021), exposé à Arles et sujet d’une monographie publiée par Delpire & co. Son activité photographique se déploie essentiellement durant deux décennies (1950-1970), aussi bien du côté du portrait, de la street photography, que des expérimentations formelles. acques Prévert a préfacé son livre Les Halles, mais qui s’en souvient vraiment aujourd’hui ? Il nous faut des jalons, des repères, des ouvrages auxquels accrocher notre pensée. Telle est l’ambition de la monographie – elle manquait – que nous découvrons aujourd’hui. Il y a dans les photographies de Romain Urhausen, ancrées dans la réalité pour n’en pas manquer la part de surréalité ordinaire, une douce ironie. On le classe du côté du courant de la photographie subjective, qui est au fond le médium considéré comme instrument d’exploration de la psyché au contact de ce qui la fait trembler ou fascine. « La photographie subjective selon Steinert [qui fut le professeur à Sarrebruck de Romain Urhausen], rappelle Paul di Felice, se voulait une nouvelle esthétique photographique, une façon anticonformiste de regarder le monde, un langage marqué par le noir et blanc, des tirages très contrastés, des cadrages radicaux et parfois des situations surréalistes. » Attentif à la géométrisation des rapports entre les êtres et le monde, entre le corps et l’espace, le photographe luxembourgeois produit une photographie vivante, héritière de Brassaï et de Cartier-Bresson.Il observe comme son compatriote Yvon Lambert le monde de l’industrie sidérurgique, ses travailleurs, ses gerbes de feu, thématique articulant les deux parties du livre : le quotidien, la rue, la ville, et les recherches formelles (solarisations, luminogrammes, photogrammes…). Romain Urhausen ne cherche pas à documenter mais à produire une vision donnant accès aux points saillants d’une modernité bousculant toute stabilité. Les lettres sont de guingois, les couples titubent, l’ivresse fait chavirer les regards, les têtes de porc (image qu’on aurait pu trouver dans la revue Documents) hument la présence fantomatique de leur spectateur.La nuit remue, mais aussi la chevelure des belles dans la rue, les jambes aiguilles des prostituées, les visages des gamins habillés à l’anglaise. Il a plu, tout glisse, on retire ses chaussures, un mendiant joue de l’accordéon assis sur un trottoir, béquille étalée le long du caniveau.
L’ouvrage se termine par un autoportrait déformé. Explicité, étudié, décortiqué, Romain Urhausen reste pourtant une énigme, comme les plus grands artistes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131235 MONO URHA Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt
Titre : The secret Paris of the 30's Type de document : texte imprimé Auteurs : Brassaï (1899-1984) ; Richard Miller (1954-....) Editeur : London : Thames and Hudson Année de publication : 1976 Importance : 1 v. unpaged Présentation : couv. ill. en couL ill. en N& B Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-0-500-27108-7 Langues : Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Paris -- 20e siècle -- Photographies , Photographie -- 20e siècle Mots-clés : Photographie noir et blanc Paris nuit Montparnasse Montmartre ville interlope rue boîte de nuit Music Hall 1930 20e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : "Pendant mes premières années à Paris, à partir de 1924, j'ai vécu la nuit, me couchant au lever du soleil, me levant au coucher du soleil, errant dans la ville de Montparnasse à Montmartre. Et même si j'avais toujours ignoré et détesté la photographie auparavant, j'ai eu ce désir de devenir photographe car je voulais donner à voir toutes les sirènes qui m'enchantaient dans le Paris nocturne que je vivais." (Brassaï)
The secret Paris of the 30's [texte imprimé] / Brassaï (1899-1984) ; Richard Miller (1954-....) . - London : Thames and Hudson, 1976 . - 1 v. unpaged : couv. ill. en couL ill. en N& B ; 27 cm.
ISBN : 978-0-500-27108-7
Langues : Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Paris -- 20e siècle -- Photographies , Photographie -- 20e siècle Mots-clés : Photographie noir et blanc Paris nuit Montparnasse Montmartre ville interlope rue boîte de nuit Music Hall 1930 20e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : "Pendant mes premières années à Paris, à partir de 1924, j'ai vécu la nuit, me couchant au lever du soleil, me levant au coucher du soleil, errant dans la ville de Montparnasse à Montmartre. Et même si j'avais toujours ignoré et détesté la photographie auparavant, j'ai eu ce désir de devenir photographe car je voulais donner à voir toutes les sirènes qui m'enchantaient dans le Paris nocturne que je vivais." (Brassaï)
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131238 U MONO BRAS Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt
Titre : Michel Houssin : Dessins pour une exposition, ancienne bibliothèque de Lanion, 29 juin au 27 août 2016 Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Houssin (1941-....), Artiste Editeur : Maurepas [France] : Lightning source Année de publication : 2016 Importance : 24 p Présentation : couv. N & B, ill N & B Format : 25,5 x 20,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-1-364-23079-1 Langues : Français (fre) Catégories : Arbre -- Dans l'art , Corps féminin -- Dans l'art , Dessin -- 21e siècle , Hyperréalisme (mouvement artistique) , Nu féminin Mots-clés : nu féminin corps détail foule arbre nature portrait hyperréalisme France dessin mine de plomb noir et blanc 21e siècle Index. décimale : 741 Dessin Résumé : Michel Houssin se consacre uniquement au dessin depuis 22 ans. Considérant la couleur comme un camouflage du réel, ses séries de paysages et de visages, trouvent leur fusion dans ses très grands dessins de Foules une sorte de conservatoire paysager de l'humain.
Dans les années 70, il peint des toiles de plus en plus sombres. Dans la lignée du geste radical d'Yves Klein il en retravaille certaines en les brûlant. En 1979, année de la naissance de sa fille Rachel, un tableau très sombre brûle totalement dans la cheminée sans qu'il puisse interrompre le processus. Ce sera sa dernière peinture, son adieu aux couleurs.
Avec la peinture ce qu'il quitte c'est la toile et son châssis. Son domaine désormais est celui de la feuille. S'il se consacre à des Études comme dans les récents portraits de ses étudiants de la Villa Arson de Nice, il se donne les limites d'un temps mesuré et conserve le format commercial du papier. Ses oeuvres dessinées en revanche se donnent le format nécessaire au déploiement de leur espace imaginaire, de la taille intime de certaines Broderezh, de Nuages ou de paysages aux très grands espaces de papier utile au dévoilement des Foules.
Texte issu d'une interview de Michel Houssin par Christian Gattinoni, in Art et Thérapie n°74-75 (Noir et Blanc Tome 1), octobre 2001Michel Houssin : Dessins pour une exposition, ancienne bibliothèque de Lanion, 29 juin au 27 août 2016 [texte imprimé] / Michel Houssin (1941-....), Artiste . - Maurepas (78310, France) : Lightning source, 2016 . - 24 p : couv. N & B, ill N & B ; 25,5 x 20,5 cm.
ISBN : 978-1-364-23079-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Arbre -- Dans l'art , Corps féminin -- Dans l'art , Dessin -- 21e siècle , Hyperréalisme (mouvement artistique) , Nu féminin Mots-clés : nu féminin corps détail foule arbre nature portrait hyperréalisme France dessin mine de plomb noir et blanc 21e siècle Index. décimale : 741 Dessin Résumé : Michel Houssin se consacre uniquement au dessin depuis 22 ans. Considérant la couleur comme un camouflage du réel, ses séries de paysages et de visages, trouvent leur fusion dans ses très grands dessins de Foules une sorte de conservatoire paysager de l'humain.
Dans les années 70, il peint des toiles de plus en plus sombres. Dans la lignée du geste radical d'Yves Klein il en retravaille certaines en les brûlant. En 1979, année de la naissance de sa fille Rachel, un tableau très sombre brûle totalement dans la cheminée sans qu'il puisse interrompre le processus. Ce sera sa dernière peinture, son adieu aux couleurs.
Avec la peinture ce qu'il quitte c'est la toile et son châssis. Son domaine désormais est celui de la feuille. S'il se consacre à des Études comme dans les récents portraits de ses étudiants de la Villa Arson de Nice, il se donne les limites d'un temps mesuré et conserve le format commercial du papier. Ses oeuvres dessinées en revanche se donnent le format nécessaire au déploiement de leur espace imaginaire, de la taille intime de certaines Broderezh, de Nuages ou de paysages aux très grands espaces de papier utile au dévoilement des Foules.
Texte issu d'une interview de Michel Houssin par Christian Gattinoni, in Art et Thérapie n°74-75 (Noir et Blanc Tome 1), octobre 2001Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131124 U MONO HOU Monographie Salle de consultation Arts graphiques Exclu du prêt PermalinkDominique Darbois, regard sur le bagne / Dominique Darbois / La Seyne-sur-Mer : Maison du patrimoine et de l'image (impr. 2010)
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