Catégories
Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
Marcello Grassi, archeologia dello sguardo / Marcello Grassi / Milan [Italie] : Electa (2021)
Titre : Marcello Grassi, archeologia dello sguardo : Catalogue d'exposition, "archeologia dello sguardo", la Fondazione Arsenale d'Iseo, Brescia, du 18 septembre au 7 novembre 2021 Titre original : Marcello Grassi, archéologie du regard Type de document : texte imprimé Auteurs : Marcello Grassi (1960-....), Photographe ; Ilaria Bignotti, Commissaire d'exposition ; Michèle Moutashar, Postfacier, auteur du colophon, etc. Editeur : Milan [Italie] : Electa Année de publication : 2021 Importance : 168 p Présentation : couv ill N & B, ill N& B Format : 28 x 24 cm Langues : Italien (ita) Anglais (eng) Roumain (rum) Catégories : Archéologie , Arles (Bouches-du-Rhône ) -- Dans l'art , Art et patrimoine , Noir -- Dans l'art , Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Reggio Emilia (Italie ) , Sculpture Mots-clés : Photographie noir et blanc noir archéologie poésie patrimoine archéologique Arles Reggio Emilia (Italie) 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : Ce volume accompagne une exposition itinérante (première présentation à la Fondazione Arsenale d'Iseo, Brescia, du 18 septembre au 7 novembre 2021). Il présente une anthologie extraordinaire du travail photographique de Marcello Grassi, l'un des chercheurs les plus sensibles et les plus poétiques sur le patrimoine archéologique et classique.
A propos du Noir chez Marcello Grassi : "A quelques exceptions près, les cadres photographiques de Marcello Grassi, lorsqu'ils sont mesurés individuellement, comportent de plus en plus d'étendues noires plutôt que de rayons lumineux. Les lignes qui les séparent, comme celles des montagnes, sont à la fois vigoureuses et poreuses, détachées du temps, informées autant par l'immuable que par l'éphémère... Tout est lié à une évidence : le noir voit et regarde comme lui-même. Mais dans ces étendues de pierre, pourtant nées de l'architecture, on constate que très peu d'ombres ont été incorporées, et que les quelques ponts qui relient le noir à l'ombre sont destinés à déjouer toute perspective éventuelle. Il y a pléthore de trous, de miroirs supplémentaires et de creusets sans fond d'où jaillit le noir. Peut-être plus encore que les images évocatrices de nécropoles étrusques créées par Marcello Grassi à partir de 1985, sa dernière série d'Arles est une longue évaluation de ce qui sépare mentalement l'ombre du noir, en faisant de l'essence du noir l'une des métaphysiques suspendues. S'agit-il du noir des limbes, dépourvu de formes non encore manifestées... ou du noir final, saturé de temps superposés ? Le noir, pourtant imperméable aux points cardinaux comme aux angles droits, crée une dimension improbable dans ces photographies. Cela se perçoit dans l'immédiateté de la pierre nuancée, dans la série de tombes en forme de corps humains taillées dans la roche de l'abbaye de Montmajour, mais aussi dans le déplacement de la hache incisée sur le noir des Alyscamps. Dans quel abîme sans fond le sol poussiéreux de l'Abbaye est-il ancré ? Le fait que Marcello Grassi, nourri d'un esprit émilien, soit venu à Arles, qui déborde d'histoire, et que toutes ces images, grâce à lui, fassent partie des collections de la ville d'Arles, donne à notre patrimoine un attrait infini, inépuisable..." [Michel Moutashar (éd.), Arles, catalogue d'exposition, Reggio Emilia, 1996]. [extr. De l'anthologie critique, p 154]Note de contenu : Bibliographie ; anthologie critique. Marcello Grassi, archeologia dello sguardo = Marcello Grassi, archéologie du regard : Catalogue d'exposition, "archeologia dello sguardo", la Fondazione Arsenale d'Iseo, Brescia, du 18 septembre au 7 novembre 2021 [texte imprimé] / Marcello Grassi (1960-....), Photographe ; Ilaria Bignotti, Commissaire d'exposition ; Michèle Moutashar, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Milan (Italie) : Electa, 2021 . - 168 p : couv ill N & B, ill N& B ; 28 x 24 cm.
Langues : Italien (ita) Anglais (eng) Roumain (rum)
Catégories : Archéologie , Arles (Bouches-du-Rhône ) -- Dans l'art , Art et patrimoine , Noir -- Dans l'art , Photographie -- 20e siècle , Photographie -- 21e siècle , Reggio Emilia (Italie ) , Sculpture Mots-clés : Photographie noir et blanc noir archéologie poésie patrimoine archéologique Arles Reggio Emilia (Italie) 20e siècle 21e siècle Index. décimale : 779 Photographies, recueils de photographies Résumé : Ce volume accompagne une exposition itinérante (première présentation à la Fondazione Arsenale d'Iseo, Brescia, du 18 septembre au 7 novembre 2021). Il présente une anthologie extraordinaire du travail photographique de Marcello Grassi, l'un des chercheurs les plus sensibles et les plus poétiques sur le patrimoine archéologique et classique.
A propos du Noir chez Marcello Grassi : "A quelques exceptions près, les cadres photographiques de Marcello Grassi, lorsqu'ils sont mesurés individuellement, comportent de plus en plus d'étendues noires plutôt que de rayons lumineux. Les lignes qui les séparent, comme celles des montagnes, sont à la fois vigoureuses et poreuses, détachées du temps, informées autant par l'immuable que par l'éphémère... Tout est lié à une évidence : le noir voit et regarde comme lui-même. Mais dans ces étendues de pierre, pourtant nées de l'architecture, on constate que très peu d'ombres ont été incorporées, et que les quelques ponts qui relient le noir à l'ombre sont destinés à déjouer toute perspective éventuelle. Il y a pléthore de trous, de miroirs supplémentaires et de creusets sans fond d'où jaillit le noir. Peut-être plus encore que les images évocatrices de nécropoles étrusques créées par Marcello Grassi à partir de 1985, sa dernière série d'Arles est une longue évaluation de ce qui sépare mentalement l'ombre du noir, en faisant de l'essence du noir l'une des métaphysiques suspendues. S'agit-il du noir des limbes, dépourvu de formes non encore manifestées... ou du noir final, saturé de temps superposés ? Le noir, pourtant imperméable aux points cardinaux comme aux angles droits, crée une dimension improbable dans ces photographies. Cela se perçoit dans l'immédiateté de la pierre nuancée, dans la série de tombes en forme de corps humains taillées dans la roche de l'abbaye de Montmajour, mais aussi dans le déplacement de la hache incisée sur le noir des Alyscamps. Dans quel abîme sans fond le sol poussiéreux de l'Abbaye est-il ancré ? Le fait que Marcello Grassi, nourri d'un esprit émilien, soit venu à Arles, qui déborde d'histoire, et que toutes ces images, grâce à lui, fassent partie des collections de la ville d'Arles, donne à notre patrimoine un attrait infini, inépuisable..." [Michel Moutashar (éd.), Arles, catalogue d'exposition, Reggio Emilia, 1996]. [extr. De l'anthologie critique, p 154]Note de contenu : Bibliographie ; anthologie critique. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131447 U MONO GRAS Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt