Titre : |
Et nos morts ? la photographie post mortem aujourd'hui en Europe : Catalogue d'exposition, "Et nos morts ?", Maison de la Photographie Robert Doisneau, 22.09.2023 - 18.02.2024 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Robert Doisneau (1912-1994) , Photographe ; Jacques-Henri Lartigue (1894-1986) , Photographe ; Raymond Voinquel, Photographe ; Goran Bertok, Photographe ; Laure Albin-Guillot (1879-1962), Photographe ; Bruno Réquillart, Photographe ; Michaël Houlette, Commissaire d'exposition ; Camille Lebossé, Commissaire d'exposition ; Maison Robert Doisneau, Concepteur |
Editeur : |
Maison de la Photographie Robert Doisneau |
Année de publication : |
2023 |
Importance : |
104 p |
Présentation : |
couv ill en coul ; ill en coul |
Format : |
23 x 16 cm |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mort -- Dans l'art -- Catalogues d'exposition , Photographie -- 21e siècle , Photographie humaniste , Photographie post mortem , Vanités (art) -- Catalogues d'exposition
|
Mots-clés : |
Photographie photographie post mortem vanités histoire de l'art mort photographie humaniste France 21e siècle |
Index. décimale : |
779 Photographies, recueils de photographies |
Résumé : |
Le rapport que nous entretenons avec nos morts, le traitement que nous réservons aux dépouilles de nos défunts, décrivent notre société et notre manière de nous penser. Mais justement où sont nos morts ? Ce qui était visible en Europe jusqu'aux années 1960 à travers la photographie post mortem a , de toute évidence, évolué ou semble désormais révolu.
Les photographies d'auteurs et d'autrices réunies ici illustrent différentes étapes de "la vie des morts", du trépas à la disparition du corps. La réflexion proposée à partir de ces images est celle de deux historiens de la photographie.
Le but de cette publication, de ce bref séjour parmi les morts, est offrir une visibilité à ce qui, aujourd'hui, ne se montre pas ou plus. C'est offrir, le temps d'une lecture, un espace au flux de pensées et d'émotions qui accompagne la vision du corps mort. C'est peut-être aussi ressusciter, pour un instant, la tradition baroque des vanités qui visaient à rappeler la fugacité du temps qui passe et la fragilité de notre existence. |
Note de contenu : |
p 20 "Jean Cocteau sur son lit de mort et Vilmos Szecsi" [photographie de Raymond Voinquel. |
Et nos morts ? la photographie post mortem aujourd'hui en Europe : Catalogue d'exposition, "Et nos morts ?", Maison de la Photographie Robert Doisneau, 22.09.2023 - 18.02.2024 [texte imprimé] / Robert Doisneau (1912-1994) , Photographe ; Jacques-Henri Lartigue (1894-1986) , Photographe ; Raymond Voinquel, Photographe ; Goran Bertok, Photographe ; Laure Albin-Guillot (1879-1962), Photographe ; Bruno Réquillart, Photographe ; Michaël Houlette, Commissaire d'exposition ; Camille Lebossé, Commissaire d'exposition ; Maison Robert Doisneau, Concepteur . - [S.l.] : Maison de la Photographie Robert Doisneau, 2023 . - 104 p : couv ill en coul ; ill en coul ; 23 x 16 cm. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mort -- Dans l'art -- Catalogues d'exposition , Photographie -- 21e siècle , Photographie humaniste , Photographie post mortem , Vanités (art) -- Catalogues d'exposition
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Mots-clés : |
Photographie photographie post mortem vanités histoire de l'art mort photographie humaniste France 21e siècle |
Index. décimale : |
779 Photographies, recueils de photographies |
Résumé : |
Le rapport que nous entretenons avec nos morts, le traitement que nous réservons aux dépouilles de nos défunts, décrivent notre société et notre manière de nous penser. Mais justement où sont nos morts ? Ce qui était visible en Europe jusqu'aux années 1960 à travers la photographie post mortem a , de toute évidence, évolué ou semble désormais révolu.
Les photographies d'auteurs et d'autrices réunies ici illustrent différentes étapes de "la vie des morts", du trépas à la disparition du corps. La réflexion proposée à partir de ces images est celle de deux historiens de la photographie.
Le but de cette publication, de ce bref séjour parmi les morts, est offrir une visibilité à ce qui, aujourd'hui, ne se montre pas ou plus. C'est offrir, le temps d'une lecture, un espace au flux de pensées et d'émotions qui accompagne la vision du corps mort. C'est peut-être aussi ressusciter, pour un instant, la tradition baroque des vanités qui visaient à rappeler la fugacité du temps qui passe et la fragilité de notre existence. |
Note de contenu : |
p 20 "Jean Cocteau sur son lit de mort et Vilmos Szecsi" [photographie de Raymond Voinquel. |
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