Titre : |
Jacques Léonard Barcelona gitana : Catalogue d'exposition Barcelona Gitana, Career de L'Església, du 11 juin au 27 novembre 2016 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jordi Calafell, Auteur ; Museu Palau Solterra, Collectivité éditrice ; Bosch (1955-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Ana Llopis Cardona (1979-), Commissaire d'exposition ; Jacques Léonard, Photographe |
Editeur : |
Barcelone [espagne] : Fundacio Vila Casas |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
1 vol. (95 p.) |
Présentation : |
ill., couv. ill. |
Format : |
16 x 16 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-84-608-8018-9 |
Langues : |
Catalan (cat) Espagnol (spa) Anglais (eng) Langues originales : Catalan (cat) |
Catégories : |
Photographie -- 20e siècle , Photographie -- Espagne -- Catalogne (Espagne ) -- Catalogues d'exposition
|
Mots-clés : |
Photographie photographe Gitan Barcelone Catalogne Espagne France 20e siècle |
Index. décimale : |
778.9 Photographie de différents sujets |
Résumé : |
La vie au cœur d’une communauté gitane de Barcelone dans les années 1950 comme si on y était. Sous le tendre objectif de Jacques Léonard, un Français qui a vécu avec eux.
« Si les Gitans forment un sujet récurrent dans l’histoire de la photographie, Jacques Léonard a su apporter un point de vue très personnel car son regard est empreint d’humanisme », raconte Jean-François Camp de la galerie Durev, qu’il dirige avec Annie Boulat. C’est vrai que de nombreux photographes ont abordé cette communauté : André Kertész en banlieue parisienne, Josef Koudelka dans les pays de l’Est ou encore Lucien Clergue et Mathieu Pernot à Arles.
Chacun d’entre eux s’est attaché à tisser des liens personnels avec cette communauté très fermée, sésame indispensable pour pouvoir les photographier. Dans ce concert de grands noms, Jacques Léonard, méconnu en France, tient une place à part. On a découvert son travail à Arles l’été dernier grâce à Anne Clergue. En ce début d’année, Durev présente à Paris une autre sélection effectuée par la galeriste arlésienne : « J’ai eu un coup de cœur parce qu’il ne cherche pas à documenter ce milieu mais pose un regard affectueux sur ces gens », note Jean-François Camp.
C’est là , en effet, une différence notable. Hasard ou coïncidence, Jacques Léonard, né en 1909, est le fils d’un marchand de chevaux français d’origine gitane. Sa vie professionnelle le conduit en Espagne en 1952 où il épouse Rosario Amaya, une gitane du quartier de Montjuïc, dans la banlieue de Barcelone. Ayant partagé la vie et le quotidien des baraquements, il a eu toute la liberté de les photographier, ne cherchant pas à témoigner de leur coutume mais portant plutôt sur eux le regard bienveillant d’un membre de la famille. La vie prise sur le vif ! |
Jacques Léonard Barcelona gitana : Catalogue d'exposition Barcelona Gitana, Career de L'Església, du 11 juin au 27 novembre 2016 [texte imprimé] / Jordi Calafell, Auteur ; Museu Palau Solterra, Collectivité éditrice ; Bosch (1955-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Ana Llopis Cardona (1979-), Commissaire d'exposition ; Jacques Léonard, Photographe . - Barcelone (espagne) : Fundacio Vila Casas, 2016 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. ; 16 x 16 cm. ISBN : 978-84-608-8018-9 Langues : Catalan ( cat) Espagnol ( spa) Anglais ( eng) Langues originales : Catalan ( cat)
Catégories : |
Photographie -- 20e siècle , Photographie -- Espagne -- Catalogne (Espagne ) -- Catalogues d'exposition
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Mots-clés : |
Photographie photographe Gitan Barcelone Catalogne Espagne France 20e siècle |
Index. décimale : |
778.9 Photographie de différents sujets |
Résumé : |
La vie au cœur d’une communauté gitane de Barcelone dans les années 1950 comme si on y était. Sous le tendre objectif de Jacques Léonard, un Français qui a vécu avec eux.
« Si les Gitans forment un sujet récurrent dans l’histoire de la photographie, Jacques Léonard a su apporter un point de vue très personnel car son regard est empreint d’humanisme », raconte Jean-François Camp de la galerie Durev, qu’il dirige avec Annie Boulat. C’est vrai que de nombreux photographes ont abordé cette communauté : André Kertész en banlieue parisienne, Josef Koudelka dans les pays de l’Est ou encore Lucien Clergue et Mathieu Pernot à Arles.
Chacun d’entre eux s’est attaché à tisser des liens personnels avec cette communauté très fermée, sésame indispensable pour pouvoir les photographier. Dans ce concert de grands noms, Jacques Léonard, méconnu en France, tient une place à part. On a découvert son travail à Arles l’été dernier grâce à Anne Clergue. En ce début d’année, Durev présente à Paris une autre sélection effectuée par la galeriste arlésienne : « J’ai eu un coup de cœur parce qu’il ne cherche pas à documenter ce milieu mais pose un regard affectueux sur ces gens », note Jean-François Camp.
C’est là , en effet, une différence notable. Hasard ou coïncidence, Jacques Léonard, né en 1909, est le fils d’un marchand de chevaux français d’origine gitane. Sa vie professionnelle le conduit en Espagne en 1952 où il épouse Rosario Amaya, une gitane du quartier de Montjuïc, dans la banlieue de Barcelone. Ayant partagé la vie et le quotidien des baraquements, il a eu toute la liberté de les photographier, ne cherchant pas à témoigner de leur coutume mais portant plutôt sur eux le regard bienveillant d’un membre de la famille. La vie prise sur le vif ! |
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