Titre : |
Reynold Arnould une poétique de l'industrie : suivi de La jeunesse d'un peintre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gwenaeu0308le Rot (1969-....), Auteur ; Vatin (1957-....), Auteur ; Reynold Arnould (1919-1980), Artiste |
Editeur : |
Presses universitaires de Nanterre |
Année de publication : |
2019 |
Importance : |
1 vol. (420 p.) |
Présentation : |
ill. en noir et en coul., portr., couv. ill. en coul. |
Format : |
27 x 29 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84016-341-1 |
Prix : |
45 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
industrie , Peinture française -- 20e siècle
|
Mots-clés : |
peinture France Le Havre automobile industrie histoire sociale 20e siècle pris de Rome modernité monographie |
Index. décimale : |
759.4 Histoire de la peinture française (peintres français) |
Résumé : |
Tubulures de l’industrie chimique et grands pylônes électriques, pales de turbines et torchères pétrolières…
La grande industrie moderne respire une beauté particulière, inquiétante et fascinante. Peu de peintres pourtant s’en sont saisis. Aucun, en tous cas, autant que Reynold Arnould (1919-1980), qui a transfiguré cette industrie dans des toiles d’apparence abstraite à l’occasion d’une grande exposition au musée des Arts décoratifs en 1959.
Artiste typique de la génération d’après-guerre, Reynold Arnould a dirigé les musées du Havre de 1952 à 1965 et inauguré en 1961 dans cette ville le premier musée de conception moderne en France. André Malraux l’appela en 1965 à la direction des Galeries nationales du Grand-Palais. Mais cette brillante carrière de conservateur ne doit pas occulter son oeuvre picturale, inlassablement poursuivie pendant cinquante ans, dont les toiles industrielles sont une composante majeure.
La première partie de cet ouvrage décline le thème de l’industrie chez Reynold Arnould, depuis ses portraits d’automobiles de 1955 jusqu’à ses oeuvres murales des années 1960-1970. La seconde partie éclaire cette peinture par le récit de la jeunesse de cet artiste, de sa rencontre avec le peintre et écrivain mondain Jacques-Émile Blanche en 1934 à sa nomination au Havre en 1952. À travers ce cas singulier : jeune prodige, premier Prix de Rome à vingt ans, professeur de beaux-arts dans une université du Texas de 1949 à 1952, c’est aussi un pan d’histoire sociale de la peinture du XXe siècle qui est ainsi mis à jour.
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Note de contenu : |
bibliographie, p 389 ; table des illustrations, p 401 ; index des noms de personnes, p 411 |
Reynold Arnould une poétique de l'industrie : suivi de La jeunesse d'un peintre [texte imprimé] / Gwenaeu0308le Rot (1969-....), Auteur ; Vatin (1957-....), Auteur ; Reynold Arnould (1919-1980), Artiste . - [S.l.] : Presses universitaires de Nanterre, 2019 . - 1 vol. (420 p.) : ill. en noir et en coul., portr., couv. ill. en coul. ; 27 x 29 cm. ISBN : 978-2-84016-341-1 : 45 EUR Langues : Français ( fre)
Catégories : |
industrie , Peinture française -- 20e siècle
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Mots-clés : |
peinture France Le Havre automobile industrie histoire sociale 20e siècle pris de Rome modernité monographie |
Index. décimale : |
759.4 Histoire de la peinture française (peintres français) |
Résumé : |
Tubulures de l’industrie chimique et grands pylônes électriques, pales de turbines et torchères pétrolières…
La grande industrie moderne respire une beauté particulière, inquiétante et fascinante. Peu de peintres pourtant s’en sont saisis. Aucun, en tous cas, autant que Reynold Arnould (1919-1980), qui a transfiguré cette industrie dans des toiles d’apparence abstraite à l’occasion d’une grande exposition au musée des Arts décoratifs en 1959.
Artiste typique de la génération d’après-guerre, Reynold Arnould a dirigé les musées du Havre de 1952 à 1965 et inauguré en 1961 dans cette ville le premier musée de conception moderne en France. André Malraux l’appela en 1965 à la direction des Galeries nationales du Grand-Palais. Mais cette brillante carrière de conservateur ne doit pas occulter son oeuvre picturale, inlassablement poursuivie pendant cinquante ans, dont les toiles industrielles sont une composante majeure.
La première partie de cet ouvrage décline le thème de l’industrie chez Reynold Arnould, depuis ses portraits d’automobiles de 1955 jusqu’à ses oeuvres murales des années 1960-1970. La seconde partie éclaire cette peinture par le récit de la jeunesse de cet artiste, de sa rencontre avec le peintre et écrivain mondain Jacques-Émile Blanche en 1934 à sa nomination au Havre en 1952. À travers ce cas singulier : jeune prodige, premier Prix de Rome à vingt ans, professeur de beaux-arts dans une université du Texas de 1949 à 1952, c’est aussi un pan d’histoire sociale de la peinture du XXe siècle qui est ainsi mis à jour.
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Note de contenu : |
bibliographie, p 389 ; table des illustrations, p 401 ; index des noms de personnes, p 411 |
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