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Titre : Les lieux et la poussière : sur la beauté de l'imperfection Type de document : texte imprimé Auteurs : Roberto Peregalli (1961-....), Auteur ; Anne Bourguignon (1962-....), Traducteur Editeur : Paris [France] : Arléa Année de publication : DL 2017 Collection : Collection Arléa-poche, ISSN 1270-9204 num. 230 Importance : 1 vol. (172 p.) Présentation : ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36308-128-5 Prix : 9 EUR Note générale : Bibliogr., 4 p. ; 63 photographies prises par l'auteur Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita) Catégories : Architecture -- Esthétique Mots-clés : Lieu architecture nostalgie ruine mémoire Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : "Les Lieux et la poussière" est un essai en douze chapitres sur la beauté et la fragilité. La beauté de notre monde périssable, la fragilité des choses et des vies, la nostalgie qui habite les objets et les lieux. Roberto Peregalli voit les façades des maisons comme des visages. Il regarde le blanc, le verre, ou la lumière des temples, des cathédrales, de la pyramide du Louvre. Il dénonce l'effroi provoqué par le gigantisme et l'inadaptation de l'architecture moderne, la violence de la technologie. Il s'attarde sur le langage et la splendeur des ruines, de la patine et et de la pénombre. Il dénonce l'incurie de l'homme quant à son destin. Roberto Peregalli nous renvoie à notre condition de mortel. Il nous rappelle combien tout est fragile dans notre être et notre façon d'être. Combien tout est poussière. Combien nous oublions de prendre soin de nous dans notre rapport aux choses et au monde. Son texte a la force soudaine de ces objets qu'on retrouve un jour au fond d'un tiroir et qui disent de façon déchirante et immédiate tout ce que nous sommes, et que nous avons perdu. À la façon de Tanizaki, dans "Éloge de l'ombre", il dévoile avec sensibilité et intelligence l'effondrement de valeurs qui sont les nôtres et qui méritent d'être en permanence repensées et préservées. Note de contenu : 4e de couverture (extrait) : éloge de l'imperfection, "Les lieux et la poussière" raconte la nostalgie et la beauté d'un monde qui disparaît. Les lieux et la poussière : sur la beauté de l'imperfection [texte imprimé] / Roberto Peregalli (1961-....), Auteur ; Anne Bourguignon (1962-....), Traducteur . - Paris (France) : Arléa, DL 2017 . - 1 vol. (172 p.) : ill. ; 18 cm. - (Collection Arléa-poche, ISSN 1270-9204; 230) .
ISBN : 978-2-36308-128-5 : 9 EUR
Bibliogr., 4 p. ; 63 photographies prises par l'auteur
Langues : Français (fre) Langues originales : Italien (ita)
Catégories : Architecture -- Esthétique Mots-clés : Lieu architecture nostalgie ruine mémoire Index. décimale : 701 Philosophie et théorie des beaux-arts et des arts décoratifs Résumé : "Les Lieux et la poussière" est un essai en douze chapitres sur la beauté et la fragilité. La beauté de notre monde périssable, la fragilité des choses et des vies, la nostalgie qui habite les objets et les lieux. Roberto Peregalli voit les façades des maisons comme des visages. Il regarde le blanc, le verre, ou la lumière des temples, des cathédrales, de la pyramide du Louvre. Il dénonce l'effroi provoqué par le gigantisme et l'inadaptation de l'architecture moderne, la violence de la technologie. Il s'attarde sur le langage et la splendeur des ruines, de la patine et et de la pénombre. Il dénonce l'incurie de l'homme quant à son destin. Roberto Peregalli nous renvoie à notre condition de mortel. Il nous rappelle combien tout est fragile dans notre être et notre façon d'être. Combien tout est poussière. Combien nous oublions de prendre soin de nous dans notre rapport aux choses et au monde. Son texte a la force soudaine de ces objets qu'on retrouve un jour au fond d'un tiroir et qui disent de façon déchirante et immédiate tout ce que nous sommes, et que nous avons perdu. À la façon de Tanizaki, dans "Éloge de l'ombre", il dévoile avec sensibilité et intelligence l'effondrement de valeurs qui sont les nôtres et qui méritent d'être en permanence repensées et préservées. Note de contenu : 4e de couverture (extrait) : éloge de l'imperfection, "Les lieux et la poussière" raconte la nostalgie et la beauté d'un monde qui disparaît. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 130898 U 701 PERE Monographie Salle de consultation Architecture et urbanisme Exclu du prêt Chambres précaires / Heidelberg [Allemagne] : Kehrer (cop. 2000)
Titre : Chambres précaires : [exposition, Sarrebruck, Stadtgalerie, 15. avril-12. Juin 2000] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Salmon (1943-....), Photographe ; Paul Virilio (1932-....), Auteur Congrès : Stadtgalerie, Auteur Editeur : Heidelberg [Allemagne] : Kehrer Année de publication : cop. 2000 Importance : 1 vol. (79 p.) Présentation : ill.en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-3-933257-35-2 Prix : 12 € Note générale : French and German. Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie France précarité lieu chambre abri refuge misère 21e siècle Index. décimale : 778.9 Photographie de différents sujets Résumé : L’hiver dernier a été très rude, et, au hasard d’une information brève du journal télévisé : « Il ne semble pas nécessaire pour l’instant d’ouvrir la station St Martin » ; on aura aperçu un instant très bref, l’image d’un quai de métro aménagé ; une série de box, chacun délimités par un rideau.
Cette image entrevue était tenace, et je n’ai pu l’oublier. Soudain, elle rendait concrète, une série d’informations sur les sans - abris qui, privées de représentation, n’avaient jamais eu sur moi un impact d’une telle force.
Cette image télévisuelle forçait mon imagination. J’ai voulu savoir si il existait d’autres lieux.
J’ai vu la péniche de l’Armée du Salut. Il y avait aussi la cité refuge, rue Cantagrel. J’ai su qu’il y avait rue de la Poterne des Peupliers, un hébergement de la ville de Paris. Des hôtels payés par des associations à la nuit ;
que le hangar mythique de Emmaüs Quai de la gare allait être démoli.
Autant de chambres précaires, lieux de refuge, lieux difficilement imaginables par ceux qui ne les fréquenteront probablement jamais.
Autant de lieux dont je voulais que l’image montrée dise avec force et pudeur, quelque chose de la vie de ceux qui n’ont plus de domicile, et quelque chose de ceux qui ont décidé d’user d’imagination pour parer au plus urgent, jours après jours, afin qu’il existe pour les plus démunis, des abris contre le froid.
Jacqueline Salmon, mai 1996.Note de contenu : Voir venir / Paul Virilio ; Fotografien / Jacqueline Salmon. Chambres précaires : [exposition, Sarrebruck, Stadtgalerie, 15. avril-12. Juin 2000] [texte imprimé] / Jacqueline Salmon (1943-....), Photographe ; Paul Virilio (1932-....), Auteur / Stadtgalerie, Auteur . - Heidelberg (Allemagne) : Kehrer, cop. 2000 . - 1 vol. (79 p.) : ill.en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-3-933257-35-2 : 12 €
French and German.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie France précarité lieu chambre abri refuge misère 21e siècle Index. décimale : 778.9 Photographie de différents sujets Résumé : L’hiver dernier a été très rude, et, au hasard d’une information brève du journal télévisé : « Il ne semble pas nécessaire pour l’instant d’ouvrir la station St Martin » ; on aura aperçu un instant très bref, l’image d’un quai de métro aménagé ; une série de box, chacun délimités par un rideau.
Cette image entrevue était tenace, et je n’ai pu l’oublier. Soudain, elle rendait concrète, une série d’informations sur les sans - abris qui, privées de représentation, n’avaient jamais eu sur moi un impact d’une telle force.
Cette image télévisuelle forçait mon imagination. J’ai voulu savoir si il existait d’autres lieux.
J’ai vu la péniche de l’Armée du Salut. Il y avait aussi la cité refuge, rue Cantagrel. J’ai su qu’il y avait rue de la Poterne des Peupliers, un hébergement de la ville de Paris. Des hôtels payés par des associations à la nuit ;
que le hangar mythique de Emmaüs Quai de la gare allait être démoli.
Autant de chambres précaires, lieux de refuge, lieux difficilement imaginables par ceux qui ne les fréquenteront probablement jamais.
Autant de lieux dont je voulais que l’image montrée dise avec force et pudeur, quelque chose de la vie de ceux qui n’ont plus de domicile, et quelque chose de ceux qui ont décidé d’user d’imagination pour parer au plus urgent, jours après jours, afin qu’il existe pour les plus démunis, des abris contre le froid.
Jacqueline Salmon, mai 1996.Note de contenu : Voir venir / Paul Virilio ; Fotografien / Jacqueline Salmon. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131152 U MONO SALM Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt
Titre : Graphotopophotologies : ou les écritures du paysage Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Salmon (1943-....), Artiste ; Jean-Luc Parant (1944-....), Auteur Editeur : Marcel le Poney Année de publication : 2014 Importance : non paginé Présentation : ill en coul Format : 22,8 x 16,6 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916452-11-1 Prix : 20 € Langues : Français (fre) Catégories : Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie utopie poésie lieu signe carte image paysage écriture sphère boule sculpture Index. décimale : 778.9 Photographie de différents sujets Résumé : Graphotopophotologies…
Ce titre dit plus que le seul résultat de l’addition des mots.
Les GRAPHIES de la main qui révèlent un sens ou ajoutent une trace, un signe sur un fond de carte, de ciel, sur une planche botanique…
Le TOPOS qui dessine un lieu, qui désigne un lieu autant que le non-lieu de l’utopie ou celui de l’atopie si chère à Roland Barthes qui en fait la définition de l’amour.
La PHOTO qui rappelle la prééminence de l’image quand elle énonce de vraies évidences : un nuage qui passe poussé par le vent, mis en équation.
La LOGIE (le logos) qui pose un discours issu de cet éclectisme généreux et impose une logique née du rapprochement de deux artistes qui s’écoutent et s’entendent à merveille pour en inventer quelques-unes.
Jacqueline Salmon et Jean-Luc Parant partagent cette même idée d’un art qui révèle, qui ouvre le monde clos des représentations habituelles, qui installent des œuvres conçues, produites, installées ensemble, sans retenue ni souci de prééminence conviant le visiteur à une expérience visuelle, émotionnelle et intellectuelle.
Cette installation totale s’adresse à nos mémoires individuelles et collectives : vieilles cartes d’ici, d’ailleurs et d’avant, photographies de ciels mouvants ou d’aubes écarlates, animaux inclassables empruntés au bestiaire de nos peurs et de nos joies enfantines, boules sculptées, dessins hésitants toujours recommencés, liste des courses et lettre au père noël, poésies sans fin…
Cette installation invente des images universelles dans des dramaturgies éphémères, des énonciations singulières dans une conversation avec l’espace. Cette grande installation est une poésie mise en scène, une scène poétique qui appelle le visiteur à devenir le promeneur et l’explorateur de lui-même.
Jean-Marc ProvidenceGraphotopophotologies : ou les écritures du paysage [texte imprimé] / Jacqueline Salmon (1943-....), Artiste ; Jean-Luc Parant (1944-....), Auteur . - [S.l.] : Marcel le Poney, 2014 . - non paginé : ill en coul ; 22,8 x 16,6 cm.
ISBN : 978-2-916452-11-1 : 20 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Photographie -- 21e siècle Mots-clés : Photographie utopie poésie lieu signe carte image paysage écriture sphère boule sculpture Index. décimale : 778.9 Photographie de différents sujets Résumé : Graphotopophotologies…
Ce titre dit plus que le seul résultat de l’addition des mots.
Les GRAPHIES de la main qui révèlent un sens ou ajoutent une trace, un signe sur un fond de carte, de ciel, sur une planche botanique…
Le TOPOS qui dessine un lieu, qui désigne un lieu autant que le non-lieu de l’utopie ou celui de l’atopie si chère à Roland Barthes qui en fait la définition de l’amour.
La PHOTO qui rappelle la prééminence de l’image quand elle énonce de vraies évidences : un nuage qui passe poussé par le vent, mis en équation.
La LOGIE (le logos) qui pose un discours issu de cet éclectisme généreux et impose une logique née du rapprochement de deux artistes qui s’écoutent et s’entendent à merveille pour en inventer quelques-unes.
Jacqueline Salmon et Jean-Luc Parant partagent cette même idée d’un art qui révèle, qui ouvre le monde clos des représentations habituelles, qui installent des œuvres conçues, produites, installées ensemble, sans retenue ni souci de prééminence conviant le visiteur à une expérience visuelle, émotionnelle et intellectuelle.
Cette installation totale s’adresse à nos mémoires individuelles et collectives : vieilles cartes d’ici, d’ailleurs et d’avant, photographies de ciels mouvants ou d’aubes écarlates, animaux inclassables empruntés au bestiaire de nos peurs et de nos joies enfantines, boules sculptées, dessins hésitants toujours recommencés, liste des courses et lettre au père noël, poésies sans fin…
Cette installation invente des images universelles dans des dramaturgies éphémères, des énonciations singulières dans une conversation avec l’espace. Cette grande installation est une poésie mise en scène, une scène poétique qui appelle le visiteur à devenir le promeneur et l’explorateur de lui-même.
Jean-Marc ProvidenceExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131156 U MONO SALM Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt