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[article]
Titre : La photo sans appareil Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvain Alliod, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 10-11 Langues : Français (fre) Catégories : Photogramme (photographie) En ligne : http://www.gazette-drouot.com
in La Gazette Drouot > n° 14 (vendredi 11 avril 2014) . - p. 10-11[article] La photo sans appareil [texte imprimé] / Sylvain Alliod, Auteur . - 2014 . - p. 10-11.
Langues : Français (fre)
in La Gazette Drouot > n° 14 (vendredi 11 avril 2014) . - p. 10-11
Catégories : Photogramme (photographie) En ligne : http://www.gazette-drouot.com Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les pratiques pauvres / Jean-Marie Baldner / Paris [France] : SCEREN - CNDP (impr. 2005)
Titre : Les pratiques pauvres : du sténopé au téléphone mobile Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Baldner, Auteur ; Yannick Vigouroux (1970-....), Auteur Editeur : Paris [France] : SCEREN - CNDP Année de publication : impr. 2005 Autre Editeur : Paris [France] : Isthme éditions Importance : 1 vol. (87 p.) Présentation : ill. en coul.; couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-912688-47-7 Prix : 12 EUR Note générale : En appendice : "C'est le cerveau qui voit, ce n'est pas l'oeil" : entretien avec Michel Imbert / réalisé par Sylvain Lizon et Philippe Salvy
Bibliogr. p. 82-83. Glossaire. IndexLangues : Français (fre) Catégories : Photogramme (photographie) , Photographie Polaroïd , Sténopé , Tirage (photographie) -- Cyanotype Index. décimale : 771 Appareils, équipement, matériels Les pratiques pauvres : du sténopé au téléphone mobile [texte imprimé] / Jean-Marie Baldner, Auteur ; Yannick Vigouroux (1970-....), Auteur . - Paris (France) : SCEREN - CNDP : Paris (France) : Isthme éditions, impr. 2005 . - 1 vol. (87 p.) : ill. en coul.; couv. ill. en coul. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-912688-47-7 : 12 EUR
En appendice : "C'est le cerveau qui voit, ce n'est pas l'oeil" : entretien avec Michel Imbert / réalisé par Sylvain Lizon et Philippe Salvy
Bibliogr. p. 82-83. Glossaire. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : Photogramme (photographie) , Photographie Polaroïd , Sténopé , Tirage (photographie) -- Cyanotype Index. décimale : 771 Appareils, équipement, matériels Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 106044 U 771 BALD Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt Romain Urhausen / Romain Urhausen / Paris [France] : Delpire & co (2022)
Titre : Romain Urhausen : [exposition "Romain Urhausen en son temps ", 53e édition des Rencontres d'Arles, Arles, Espace Van Gogh, 2022] Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Urhausen, Auteur ; Paul Di Felice, Auteur ; Carolin Förster, Auteur Congrès : Lët'z Arles, Auteur Editeur : Paris [France] : Delpire & co Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (109 p.) Présentation : ill. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-95821-49-6 Prix : 42 EUR Note générale : Texte français et trad. anglaise à la suite
Exposition organisée dans le cadre des 53e Rencontres d'ArlesLangues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photogramme (photographie) , Photographie -- 21e siècle , Ville -- Dans l'art Mots-clés : photographie noir et blanc photographie subjective corps espace ironie quotidien rue ville industrie Luxembourg 21e siècle Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : Il se pourrait que l’année 2022 soit celle de la reconnaissance par le plus grand public de l’œuvre de l’artiste aux multiples talents Romain Urhausen (1930-2021), exposé à Arles et sujet d’une monographie publiée par Delpire & co. Son activité photographique se déploie essentiellement durant deux décennies (1950-1970), aussi bien du côté du portrait, de la street photography, que des expérimentations formelles. acques Prévert a préfacé son livre Les Halles, mais qui s’en souvient vraiment aujourd’hui ? Il nous faut des jalons, des repères, des ouvrages auxquels accrocher notre pensée. Telle est l’ambition de la monographie – elle manquait – que nous découvrons aujourd’hui. Il y a dans les photographies de Romain Urhausen, ancrées dans la réalité pour n’en pas manquer la part de surréalité ordinaire, une douce ironie. On le classe du côté du courant de la photographie subjective, qui est au fond le médium considéré comme instrument d’exploration de la psyché au contact de ce qui la fait trembler ou fascine. « La photographie subjective selon Steinert [qui fut le professeur à Sarrebruck de Romain Urhausen], rappelle Paul di Felice, se voulait une nouvelle esthétique photographique, une façon anticonformiste de regarder le monde, un langage marqué par le noir et blanc, des tirages très contrastés, des cadrages radicaux et parfois des situations surréalistes. » Attentif à la géométrisation des rapports entre les êtres et le monde, entre le corps et l’espace, le photographe luxembourgeois produit une photographie vivante, héritière de Brassaï et de Cartier-Bresson.Il observe comme son compatriote Yvon Lambert le monde de l’industrie sidérurgique, ses travailleurs, ses gerbes de feu, thématique articulant les deux parties du livre : le quotidien, la rue, la ville, et les recherches formelles (solarisations, luminogrammes, photogrammes…). Romain Urhausen ne cherche pas à documenter mais à produire une vision donnant accès aux points saillants d’une modernité bousculant toute stabilité. Les lettres sont de guingois, les couples titubent, l’ivresse fait chavirer les regards, les têtes de porc (image qu’on aurait pu trouver dans la revue Documents) hument la présence fantomatique de leur spectateur.La nuit remue, mais aussi la chevelure des belles dans la rue, les jambes aiguilles des prostituées, les visages des gamins habillés à l’anglaise. Il a plu, tout glisse, on retire ses chaussures, un mendiant joue de l’accordéon assis sur un trottoir, béquille étalée le long du caniveau.
L’ouvrage se termine par un autoportrait déformé. Explicité, étudié, décortiqué, Romain Urhausen reste pourtant une énigme, comme les plus grands artistes.Romain Urhausen : [exposition "Romain Urhausen en son temps ", 53e édition des Rencontres d'Arles, Arles, Espace Van Gogh, 2022] [texte imprimé] / Romain Urhausen, Auteur ; Paul Di Felice, Auteur ; Carolin Förster, Auteur / Lët'z Arles, Auteur . - Paris (13 rue de l’Abbaye, 75006, France) : Delpire & co, 2022 . - 1 vol. (109 p.) : ill. ; 28 cm.
ISBN : 979-10-95821-49-6 : 42 EUR
Texte français et trad. anglaise à la suite
Exposition organisée dans le cadre des 53e Rencontres d'Arles
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Noir et blanc -- Dans l'art , Photogramme (photographie) , Photographie -- 21e siècle , Ville -- Dans l'art Mots-clés : photographie noir et blanc photographie subjective corps espace ironie quotidien rue ville industrie Luxembourg 21e siècle Index. décimale : 779.092 Photographies - Recueils ou collections - Étude relative à une personne Résumé : Il se pourrait que l’année 2022 soit celle de la reconnaissance par le plus grand public de l’œuvre de l’artiste aux multiples talents Romain Urhausen (1930-2021), exposé à Arles et sujet d’une monographie publiée par Delpire & co. Son activité photographique se déploie essentiellement durant deux décennies (1950-1970), aussi bien du côté du portrait, de la street photography, que des expérimentations formelles. acques Prévert a préfacé son livre Les Halles, mais qui s’en souvient vraiment aujourd’hui ? Il nous faut des jalons, des repères, des ouvrages auxquels accrocher notre pensée. Telle est l’ambition de la monographie – elle manquait – que nous découvrons aujourd’hui. Il y a dans les photographies de Romain Urhausen, ancrées dans la réalité pour n’en pas manquer la part de surréalité ordinaire, une douce ironie. On le classe du côté du courant de la photographie subjective, qui est au fond le médium considéré comme instrument d’exploration de la psyché au contact de ce qui la fait trembler ou fascine. « La photographie subjective selon Steinert [qui fut le professeur à Sarrebruck de Romain Urhausen], rappelle Paul di Felice, se voulait une nouvelle esthétique photographique, une façon anticonformiste de regarder le monde, un langage marqué par le noir et blanc, des tirages très contrastés, des cadrages radicaux et parfois des situations surréalistes. » Attentif à la géométrisation des rapports entre les êtres et le monde, entre le corps et l’espace, le photographe luxembourgeois produit une photographie vivante, héritière de Brassaï et de Cartier-Bresson.Il observe comme son compatriote Yvon Lambert le monde de l’industrie sidérurgique, ses travailleurs, ses gerbes de feu, thématique articulant les deux parties du livre : le quotidien, la rue, la ville, et les recherches formelles (solarisations, luminogrammes, photogrammes…). Romain Urhausen ne cherche pas à documenter mais à produire une vision donnant accès aux points saillants d’une modernité bousculant toute stabilité. Les lettres sont de guingois, les couples titubent, l’ivresse fait chavirer les regards, les têtes de porc (image qu’on aurait pu trouver dans la revue Documents) hument la présence fantomatique de leur spectateur.La nuit remue, mais aussi la chevelure des belles dans la rue, les jambes aiguilles des prostituées, les visages des gamins habillés à l’anglaise. Il a plu, tout glisse, on retire ses chaussures, un mendiant joue de l’accordéon assis sur un trottoir, béquille étalée le long du caniveau.
L’ouvrage se termine par un autoportrait déformé. Explicité, étudié, décortiqué, Romain Urhausen reste pourtant une énigme, comme les plus grands artistes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 131235 MONO URHA Monographie Salle de consultation Photographie Exclu du prêt