Titre : |
Germaine Richier : Télérama hors série mars 2023 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Germaine Richier (1902-1959), Artiste ; Olivier Céna (1963-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Maud Marron-Wojewodzki, Commissaire d'exposition ; Ariane Coulondre (1981-....), Commissaire d'exposition |
Editeur : |
Paris [France] : Télérama |
Année de publication : |
2023 |
Importance : |
82 p |
Présentation : |
couv ill N & B, ill en coul |
Format : |
27 x 21,5 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
3780209609903 |
Prix : |
9,90 € |
Note générale : |
HS dédié à Germaine Richier à l'occasion d'une rétrospective "Germaine Richier", du 1er mars au 12 juin 2023, Centre Pompidou (ariane Coulondre, commissaire d'exposition) et du 12 juin au 5 novembre, musée Fabre, Montpellier (Maud Marron-Wojewodzi, commissaire d'exposition) |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Femme artiste -- 20e siècle , Sculpture -- 20e siècle
|
Mots-clés : |
Sculpture sculptrice France 20e siècle |
Index. décimale : |
735.23 Sculpture -- XXème siècle |
Résumé : |
Elle est une des artistes les plus importantes du XXe siècle, et beaucoup en France ne le savent pas encore. L'oeuvre de Germaine Richier, reconnue de son vivant, internationalement célébrée, mais longtemps oubliée après la mort prématurée de la sculptrice, en 1959, prend enfin, en France, grâce au Centre Pompidou, à Paris, et au musée Fabre de Montpellier, la place qu'elle mérite aux côtés de ses contemporains, le Suisse Alberto Giacometti, l'Italien Marino Marini ou l'Anglais Henry Moore. Une phrase la résume : "Plus je vais, plus je suis certaine que seul l'humain compte." Germaine Richier nous a donc sculptés comme elle nous voyait, à la fois ogres et démons, émotifs et râleurs, cruels et rigolards, fragiles et menaçants comme des insectes. De sa formation classique auprès de Bourdelle, elle a conservé la précision, le souci du détail. Mais très vite les formes se sont creusées, les peaux craquelées, trouées, séchirées ont reflété nos peines et nos tourments, sans que les corps ainsi martyrisés sombrent. Car ils tiennent, bancals parfois mais debout, fiers, dignes. Ainsi naît la beauté sauvage. (Télérama HS, p11) |
Note de contenu : |
Sommaire p 11 : portrait (p 4) ; sculptueure !, par Valérie Da Costa (p 12), Antonio Nardone, modèle (p 24), Réconciliations par Jean-Louis Prat (p 30), La Montagne (p 38), Portfolio sculptures (p 40), Le Diabolo (p 48), D'amour et de colère, par Laurence Durieu (p 50), Le Berger des Landes (p 60), Les dessins (p 64), Le temps de Zurich, par Olivier Cena (p 72), Bibliographie, expositions (p 82) |
Germaine Richier : Télérama hors série mars 2023 [texte imprimé] / Germaine Richier (1902-1959), Artiste ; Olivier Céna (1963-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Maud Marron-Wojewodzki, Commissaire d'exposition ; Ariane Coulondre (1981-....), Commissaire d'exposition . - Paris (France) : Télérama, 2023 . - 82 p : couv ill N & B, ill en coul ; 27 x 21,5 cm. ISSN : 3780209609903 : 9,90 € HS dédié à Germaine Richier à l'occasion d'une rétrospective "Germaine Richier", du 1er mars au 12 juin 2023, Centre Pompidou (ariane Coulondre, commissaire d'exposition) et du 12 juin au 5 novembre, musée Fabre, Montpellier (Maud Marron-Wojewodzi, commissaire d'exposition) Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Femme artiste -- 20e siècle , Sculpture -- 20e siècle
|
Mots-clés : |
Sculpture sculptrice France 20e siècle |
Index. décimale : |
735.23 Sculpture -- XXème siècle |
Résumé : |
Elle est une des artistes les plus importantes du XXe siècle, et beaucoup en France ne le savent pas encore. L'oeuvre de Germaine Richier, reconnue de son vivant, internationalement célébrée, mais longtemps oubliée après la mort prématurée de la sculptrice, en 1959, prend enfin, en France, grâce au Centre Pompidou, à Paris, et au musée Fabre de Montpellier, la place qu'elle mérite aux côtés de ses contemporains, le Suisse Alberto Giacometti, l'Italien Marino Marini ou l'Anglais Henry Moore. Une phrase la résume : "Plus je vais, plus je suis certaine que seul l'humain compte." Germaine Richier nous a donc sculptés comme elle nous voyait, à la fois ogres et démons, émotifs et râleurs, cruels et rigolards, fragiles et menaçants comme des insectes. De sa formation classique auprès de Bourdelle, elle a conservé la précision, le souci du détail. Mais très vite les formes se sont creusées, les peaux craquelées, trouées, séchirées ont reflété nos peines et nos tourments, sans que les corps ainsi martyrisés sombrent. Car ils tiennent, bancals parfois mais debout, fiers, dignes. Ainsi naît la beauté sauvage. (Télérama HS, p11) |
Note de contenu : |
Sommaire p 11 : portrait (p 4) ; sculptueure !, par Valérie Da Costa (p 12), Antonio Nardone, modèle (p 24), Réconciliations par Jean-Louis Prat (p 30), La Montagne (p 38), Portfolio sculptures (p 40), Le Diabolo (p 48), D'amour et de colère, par Laurence Durieu (p 50), Le Berger des Landes (p 60), Les dessins (p 64), Le temps de Zurich, par Olivier Cena (p 72), Bibliographie, expositions (p 82) |
|  |